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CLIC :
Citation de début :
« La chambre intérieur de l’ame sont comme la chambre noire du
photographe. On ne peut y séjourné longtemps sinon cela devient
la cellule du névrosé »
Anais nin
Scéne 1:
Quentin est vêtue de noir, et on n’appercoit pas sa tete.Il prépare une cellule
très glauque, il enroule des cordes, ranges des couteaux et des lames, il aiguise
des coteaux, il ce regarde dans la lame d’un des couteaux et y fait un clin d’œil
,il remplit un bocale avec un liquide translucide, il nettoie un fauteuil roulant
plein de crasse et de sang.
Il sort de la cellule et allume quelques lumières artificielles, nous sommes en
réaliter dans un labo photos.
(dans ce labo : appareils objectifs, pc, carte graphiques, et plein de chaussures
féminine de toute parts).
Il commence par préparer son matériel pour quelques prise de vues, mais en
prenant l’appareil dans ces mais il ce stop nette et le repose l’air choquer.
QUENTIN (off):
Tu est ma muse et malgré ton abscence, je puise en toi toute
mon inspiration ; je fait tout ca pour et grâce a toi mon ange.
La photo est devenue l’allier de ma mémoire et le seul
médium qui ouvre mon esprit vers d’autres horizons.
Il séré le poing fort en touchant son alliance.
QUENTIN (off):
Vailla con dios……
Il fait un signe de croix avec un air très triste, puis il embrasse son alliance.
Il pose enfin son appareil sur le trépied et la sonnette retentis.
QUENTIN:
J’arrive……j’arrive.
Quentin ce dirige vers la porte et ouvre les nombreux vérous. Valentine entre,
Quentin est obsédés par ses magnifiques jambes et ne regarde méme pas son
visage.
VALENTINE:
Je suis le modèle qui vous est contacter hier sur internet.
QUENTIN:
Très bien, assayez vous la .ditil très malalaise.
Valentine s’assoie en croisant les jambes très sensuellement. Quentin s’assoie
face a elle, il se met a genoux face a elle et caresse sensuellement ca jambe du
genoux jusqu’au pied. Il s’empresse d’enlever ca chaussure et la pose très
délicatement, il prend le pied de Valentine dans sa mains et la caresse.
QUENTIN:
Parfait…… parfait…
Il ce leve, va vers une table , il prend une liasse de billet et la donne a
Valentine, elle s’emprésse de les metres dans son soutiensgorge.Il la regarde
des pieds a la tete. Quentin prend un pénoir et lui donne.
QUENTIN:
Prépare toi.
Quentin choisit plusieurs paires de chaussures et les alignes au sol.Valentine
en pénoir les essayent une par une ; Quentin est dubitatif jusqu'à une paire qui
fait pétiller ses yeux.
QUENTIN:
Celle la.
Valentine met la deuxième chaussure et enléve son pénoir, elle est enlingerie
très sexy. Elle vient s’assoire sur le fauteil roulant, prenant une pose très sex .
Quentin prend des codes et l’attache.
Il prend de nombreuses photos tout en changeant la posit ion de Valentine.
Il décide de lui mettre un more de chevale.
QUENTIN (off):
Comme l’a dit un grand homme : soyez béni mon dieu qui
donnez la souffrance comme un divins remède a nos
impuretés.
QUENTIN:
Donne moi de la souffrance, donne moi du mal ma belle.
Elle simule la souffrance et Quentin la la bombarde de photos. Il ce dirige vers
son ordinateur et y branche son appareil photo numérique.
Une fois les photos importés, il en choisit une et la retouche en toute vitesse.
QUENTIN (off):
Ma photo pourra être reproduite mille fois, mais l’instant que
j’ai réussi a capter n’arrive qu’une fois.Et la elle me donne
rien, son visage est complètement incipide.
Il paraît très énervé, il continue a retoucher cet vidéo et la rend encore plus
glauque, il zoom sur ca tete et y ajoute du sang. A c moment Quentin ésquive
un sourire de satisfation et tourne son écran vers Valentine.
QUENTIN:
Regarde ce photo elle parle pas, elle nous dit rien…..donne
m’en plus ma belle, je veut y croire.
QUENTIN (off):
Allez salope donne moi tout…… donne toi chienne…
Il cherche sous sa table pour y chercher une rutilante machette , dans l’autre
mains il attrape son appareil photos.
Il avanc lentement vers Valentine qui gémit de peur et éssaye de hurler sous
son more.on l’entend donné un coup de machette, la femme a du sang plein le
visage et a les yeux remplits de douleur et de haine .Quentin quant alui ce
lèche les doigts plein de sang et il prend son appareil et mitraille.
QUENTIN : Je savais que t’en avais dans la culotte….
Scéne 2:
Quentin est dans son laboratoire, il imprime une photo de Valentine entrain
de souffrir, son visage est plein de sang. La radio est allumé sur les
informations.
RADIO :
(….)Une centaine de jeunes filles sont portées disparus
depuis trois mois, leurs signalisations est régulièrement
relayés par les différents médias, si vous avez aperçus une de
ces jeunes filles, dirigezvous vers le commissariat le plus
proche afin de le signalé.(…)
Les infos continuent et Quentin ouvre une glacière remplit avec le pied
chaussé de Valentine a l’intérieur. Il prend le pied plein de sang et lèche le
sang, il ouvre le bocal remplit de formole. Il ouvre le placard numéroter 13, a
l’intérieur de celuici six bocaux avec la photo de la victime plus son pied.
Il pose le septième bocal et pose une étiquette dessus, sur cette étiquette est
écrit 101. Il referme le placard numéro 13 et éteint la radio.
De l’autre coter de la pièce ce trouve un sanctuaire religieux comme en on les
Méxicains (très quitch avec moulte idoles et offrandes), au dessus une photo
de lui et de sa femme. Plus bas , un livre de photo et un Gun.
Il prend le live de photos et l’ouvre, dedans il y a moulte photos de lui et ca
femme, il a l’air joyeux et anjoué ele aussi d’ailleurs ; chaque photos s’anime
pour nous montrer et nous faire entendre le moment joyeux qu’elle contient
(avec l’homme et la femme : le mariage, sex, repas, vacances…). Puis angoisser
il tourne une seconde pages, il est très triste et des larmes coulent sur cet
page.
Il tourne la page : d’un coter un article de journal racontant l’accident de sa
femme, cela lui fait ce rappeler les bruits horribles de l’accident. Puis il
regarde l’autre page et n’entend plus rien, sur cet page , une photo de sa
femme les jambes en moins, elle est dans un fauteil roulant, perfuser et la
mine blafarde.
Il ferme ce livre sur lequel est scotché une photo de la tombe de ca défeinte
femme, il sent une de ses chaussures qui lui rappel de bons souvenirs d’elle. Il
caresse ca photo, il prend ca photos dans la main et enlève la partie ou il ce
situe.
Il crache sur les photos de lui méme il prend le gun d’un air dépiter et cotinue
a regarder ses photos.
Quentin entend les derniers instants de la vie de ca femme, il agripe fort son
flingue et met son doigt sur la gâchette.
FEMME DE QUENTIN (off) : Elle hurle de douleur ;
Allez mon amour, fait le. Pour l’amour de dieux, tu a toujours
dit que tu ferait tout pour moi. Tue moi, je veut pas vivre
comme ca toute ma vie, sans mes jambes je préfere mourrir, j
suis comme un ange qui aurait perdu ces ailes, dieux te
protége mon cœur .On entend une gâchette retentire.
Il appuie sur la détente et on entend un coup de feu, mas lui n’a pas eu le
courage de ce tuer, le coup de feu entendu n’est que celui de Quentin qui met
fin a la vie de ca femme, mais lui n’a pas eu le courage de mettre fin a ses
jours.
Il renverse violement son autel (en mémoire de ca femme) et il pleure en
caressant la chaussure de ca dèfeinte .
QUENTIN (off) :
Mon amour, je n’est pas plus le courage de te rejoindre, que
toi tu n’en a eu pour rester parmis nous. Ma vie c’est arrêter
au moment méme ou ton cœur a cesser de battre.
FIN
Citation de fin :
« La mort n’est qu’un photographe vous disant : ne bougez plus…»
Sacha guitry
Note d’intention :
Nostalgie, dépression, fétichisme, déviance mentale, abstraction
de la réaliter, voilà comment nous pourrions définir Quentin le
héros de cet histoire ; héros ou anti héros ? Ca c’est a vous de
juger.
Quentin vit dans la pénombre et la crasse d’un vielle atelier
d’artiste poisseux et sombre. La lumière est contraster , rouge et
verdâtre comme dans un giallo ou une chambre noir, ces lumières
bizarres accentuent l’impréssion de malaise provoquer par ces
lieux.
Son attelier représente bien son désordre mentale, il a créer une
fausse sale de torture (qui ce trouve en être une vrai), il a des
centaines de paires de chaussures a talon ordonnés
méthodiquement comme dans un magasin (étrange pour un
homme veuf depuis quelques mois), toutes les portes sont remplit
de verrous comme si cet atelier ce transformait en cellule
pénitentiaire, dalleurs Quentin aussi est prisonnier lui aussi de ses
déviances mentales.
Quentin n’est rien d’autre qu’un fétichiste dont la femme a perdu
son plus bel atout ,ses jambes, lui qui vous un culte aux pied de sa
femme, le jour ou elle les perds c’est le début de ca chute
vertigineuse. Ca femme n’a d’ailleurs plus l’envie de vivre aprés
son accident et elle va demander a son marie de la tuer malgré ses
convictions religieuse, d’ailleurs ce jour est marquer dans sa
mémoire elle a changer l’homme en bète pour toujours.
Cet mort tragique éveil en lui son talent artistique, c’est comme un
évènement déclencheur qui le pousse vers la photo (l’art de
l’instant capturé).
La mémoire ne filme pas, elle photographie, il ce passionne donc
pour cet art, de plus voire des photos de sa femme heureuse, lui
rappel tous les bons souvenirs vécu avec ca femme (c’est ca
madeleine de Proust).
Lui qui était si sage, va plonger peut a peu dans l’aliénation :
‐ Il voue un culte quasi païens à la mémoire de sa femme, via
un un autel païens (comme la « santeria » brésilienne).
‐ Il tue toute ces femmes pour conserver leurs pieds chausser,
comme si il vengeait sa femme qui a perdu ses jambes lors
d’un accident.
Il aime les pied de femme et encore plus quand ils sont
chaussés, si il conserve les jambes de ses victimes, peut‐etre
croit il que ci ca femme reviens de l’autre monde il pourra lui
rendre les pieds les plus beaux qu’il aura trouver, comme un
FRANKENSTEIN moderne.
Malgré ca foie chrétienne il ne voit aucun problème morales a
ses exactions, c ‘est un être froid et manipulateur, fasciner par
la souffrance (la preuve avec les photos de ces victimes
agonisant, coller sur les bocaux.)
Ses vctimes sont de magnifiques jeunes filles désirant posr
pour un potographe Fetishiste , BDSM, donc elle ne voient
aucune objection a être ligoter pour ces photos « artistique », et
elle se retrouveront donc impuissante ligoter affrontant la mort
de face.
Toutes ses photos sont faites sur le fauteil roulant de sa femme,
dans son esprit c’est comme si les prévenait de leur funeste
destin . Peut être croit‐il que ca femme l’observe d’outre tombe
fière de la vengeance accomplit.
Pour conclure le titre « clic » est l’onomatoper utiliser pour le
bruit de l’appareil photos, mais aussi celui des aiguilles de
l’horloge qui tourne si vite sans la présence de la femme de
Quentin; Mais ce clic est aussi et surtout le bruit de la gâchette
qui resonne dans son cerveau, le dernier bruit quil entendit
juste avant de tuer ca femme, alors que lui n’a pas le courage de
mettre fin a ses jours pour retrouver ca défeint.