Journal A2C Final 2 (1) .pdf
À propos / Télécharger Aperçu
Ce document au format PDF 1.4 a été généré par Adobe InDesign CS5.5 (7.5) / Adobe PDF Library 9.9, et a été envoyé sur fichier-pdf.fr le 24/04/2012 à 01:20, depuis l'adresse IP 93.121.x.x.
La présente page de téléchargement du fichier a été vue 854 fois.
Taille du document: 1.9 Mo (14 pages).
Confidentialité: fichier public
Aperçu du document
Date / A2C Mag n°1 Gratuit
Magazine
« Dépasse tes limites ! »
Qui sommes nous ?
p.2
Portrait oscarisé
p.8
L’association
VilleVieVacances 2012
A l’affiche
Evenements
p.2
p.4/5
p.9
p.11
ILS EN PARLENT !
La
violence
en
soirée
?
p.10
«On peut plus sor tir sans craindre les
coups de feu ! Dès qu’on commence
à s’amuser, ça tourne en «bal brésilien.». On peut pas continuer comme
ca.. On sor t pour décompresser et au
final, on repar t plus stressés même !»
1
Edito
NOUS VOILA
ENFIN !
A
près plusieurs longs mois de travail, voici
enfin entre vos mains, le journal officiel de
l’Association Deuxième Chance !
Voici donc un cadeau coloré pour tous ceux qui
ont envie de savoir ce qui se passe autour d’eux,
chez eux et pour eux !
Nous avons réuni dans ce petit bijou papier tout
plein d’informations qu’on vous laisse libre de
découvrir (sinon il n’y a pas de surprises !).
Alors, en espérant que chacun trouvera une page
à son image, l’Association vous souhaite
une bonne année 2012, le meilleur pour votre
avenir et de profiter de ce journal qui est tout
sauf un poisson d’avril !
L’équipe A2C MAG
Présidée par Mme Muriel Kpodar,
l’Association Deuxième Chance
s’occupe de diverses activités dans
les secteurs culturels
et socio-éducatifs. Ainsi, voici ce
que nous proposons :
- De la Remise à Niveau
- Du FLE (Français Langue
Etrangère) pour lycéens
et adultes
Qui sommes
nous ?
- Du soutien scolaire via les dispositifs du
CLAS (Contrat d’Accompagnement Local à
la Scolarité, en partenariat avec la Direction
Sociale Urbaine) et du P.R.E. (Programme
de Réussite Educative, en partenariat avec
les écoles primaires) destiné aux élèves de
primaire et de collège
- De la Préparation aux
examens et concours
(Soins Infirmiers en ce moment)
- Des ateliers et actions civiques
- De l’initiation à l’informatique
- Des groupes de paroles
- Des ateliers et des actions de
sensibilisation et d’initiation des jeunes aux
thématiques d’actualité comme le respect de
l’environnement, la tolérance, etc…
3
Qui sommes nous ?
Quel est notre projet
associatif ?
L’important pour nous est de remettre sur les rails
l’insertion
professionnelle
des
jeunes
déscolarisés
de
la
Guyane, d’élargir les horizons autour de projets culturels
notamment
interrégionaux.
Nous
voulons
aussi
impliquer davantage les jeunes dans la citoyenneté en les investissant dans les projets. Enfin, nous désirons accompagner toute
personne désireuse d’évoluer dans sa formation professionnelle.
Nous
mettons
la
combativité,
donc
à
l’honneur
l’envie
de
réussir
le
développement
de
d’où
notre
slogan
:
« DEPASSE TES L I MI T E S ! »
Tous ces élements servent à faire de l’Association
Deuxième Chance une structure d’accueil, d’emploi, de formation mais aussi de loisirs permanente, par exemple
au sein
des quartiers afin de battre le désoeuvrement et l’errance.
Afin de mener à bien ses missions, l’association a opté pour le recrutement de :
2 médiateurs
(contrat adulte-relais) :
1 responsable de formation
M.ICHO,M.BURIN
animateur (CDI) : M.PALMOT
1 secrétaire du centre
de formation (CAE):
Mlle MOMBIA
1 responsable de projet
(CAE) :
M. de GUGLIELMONE
1 secrétaire pour l’association (CAE):
Mlle DA SILVA MACIEL
5 services civiques
volontaires
L’association mobilise aussi dans toutes ses actions de
nombreux jeunes bénévoles (15). Ces derniers participant activement à toutes les activités de l’association et bénéficiant en
interne d’aide à la formation, à la montée en charge de compétences
et d’un espace convivial («cyberpozé», outils multimédia, etc.)
V
V
VVV
e
i
e
l
il
es
c
n
a
c
a
Si pour la plupart d’entre nous, le simple mot
«Vacances» rime avec soleil, plage et
fainéantise, pour d’autres, les grandes
vacances 2011 furent plus que mouvementées !
En effet, comme chaque année depuis quatre ans,
l’Association Deuxième Chance a clôturé
l’action «Ville, Vie, Vacances», le 26 Août dernier, à la maison de quartier de la Cité Brutus.
Ils ont présenté le fruit de deux mois de travail
intenses autour du thème 2011 : le théâtre !
Ils ont dû réaliser intégralement une pièce
de théâtre ainsi que deux scénettes,
qu’ils se sont faits une joie de présenter devant un
public au final conquis par ces graines de talent !
Au sujet du dispositif VVV
Les opérations Ville vie
vacances (VVV) permettent
à des préadolescent(e)s et
adolescent(e)s en difficulté,
de bénéficier d’un accès à des
activités de loisirs et d’une
prise en charge éducative
durant les différentes périodes
de vacances scolaires.
Ville vie vacances est un
dispositif intégré de prévention
de la délinquance s’adressant
à des jeunes dont les conditions de vie produisent du
danger pour euxmêmes
et qui peuvent être en situation de rupture et de conflits
avec leur environnement. Il
contribue également aux politiques d’insertion sociale des
jeunes et de lutte contre
l’exclusion.
L’Acsé.fr
5
Nos activités
«
Au terme de ces deux mois de vacances les animateurs et
moi avons réussi à atteindre notre objectif. Grace à cette
bonne humeur perpétuelle et la créativité des enfants, chacun a réussi à s’ouvrir un peu plus aux autres, tout le monde
s’y est mis et cette union a créé un magnifique spectacle.
Chacun des enfants a réussi à séduire le public à travers
différents personnages. Ils ont su démontrer qu’ils étaient
Maëva
uniques en leur genre, donc on peut dire que c’est un très
animatrice VVV
bel accomplissement !
«
C’était super ! Les scènes étaient drôles et les animateurs
encore plus ! On s’est super bien amusé. J’ai appris plein
de trucs que je n’avais même pas encore vu à l’école,
plein de mots comme didascalies, dramaturge, etc.. Il
faut que les grandes vacances reviennent vite pour que
ça recommence !
»
Auslin, 13 ans
J’ai bien aimé faire la fille ! C’était comique ! Les animateurs nous
ont appris plein de choses. Je suis obligé de revenir, c’était trop
«monss». J’ai appris plein de trucs que je n’avais même pas encore
vu à l’école, plein de mots comme didascalies, dramaturge, etc..
«
nous raconte Onel, 8 ans, qui en effet, a joué le rôle d’une mère de famille
unique en son genre dans une des scénettes !
Les enfants étant plein de ressources, ils ont vraiment jouer le
jeu jusqu’au bout des deux mois de l’atelier. Ils ont peu à peu
mis de côté leur petite timidité et c’est comme ça que certains
se sont vraiment démarqués ! Ecrire et mettre en scène intégralement une comédie donc cinq scènes relativement conséquentes ainsi que deux scénettes était un sacré défi qu’ils ont
su relever ! Le spectacle était vraiment très bien, ils se sont
surpassés pour faire plaisir à leur public !
»
»
Noémie
animatrice VVV
ô
c
h
i
t
B
rigade Théâtrale !
Et si les enfants ont été
initiés au théâtre, nous avons au sein
de l’Association Deuxième Chance,
de véritables maîtres dans cet art
avec la Brigade Théâtrale «Bitchô»
qui de part ses de plus en plus
nombreuses
prestations,
se
fait de plus en plus célèbre !
Avec près d’une dizaine de prestations ayant donc déjà séduit
un public total de plus d’un
millier de personnes, la Brigade
voit déjà de beaux jours devant elle !
Pourtant, elle ne rassemble pour
l’instant moins d’une dizaine de
participants dont pour l’instant
4 comédiens. D’ailleurs, La Brigade est en manque de FILLES !
Alors si tu es intéressée, n’hésite pas à joindre l’association
(Numéro au dos du journal).
En attendant, la Brigade joue
des scénettes de toute thématique et est même intervenue
dans le cadre du tournage du
clips d’un artiste local Maldone.
7
Lors de cette prestation demandée par le D.S.R.U de
Cayenne sur le thème de la
sensibilisation aux addictions
(alcool, drogues), à la place des
palmistes,
six saynètes furent
interprétées par Bitchô devant
un public conquis d’une centaine de personnes !
«
La Brigade étant en expansion
du fait de la forte demande de prestations, nous somme dans l’optique d’effectuer un recrutement massif afin
de pouvoir répondre à la demande.
Nous
envisageons
aussi
d’ouvrir une section de jeunes
comédiens
(Mini
Brigade)
composé essentiellement d’enfants
formés à notre méthode théâtrale.
Des demandes de formation et
de création d’atelier dans certain
établissement scolaire étant en
pour parler nous envisageons
maintenant une exportation de
notre concept via l’élargissement
de notre champ d’action en incluant d’autre domaine artistique.
La brigade de par sa nature est voué
à être exporté dans chaque commune (une tournée est envisagé) et
une forte participation à des manifestations de plus grande envergure !
»
8
Portrait oscarisé
y
S
r
Oma
e
l
b
a
h
c
u
L’into
Omar Sy est désormais «intouchable». Ce grand monsieur de 1m90
dévore l’écran dans la comédie Intouchables, véritable carton au box-office.
L’acolyte de Fred, notamment dans
le SAV des émissions, explose dans
chacune des scènes du film, s’imposant comme une véritable révélation.
Pourtant,
rien
ne
prédestinait
Omar Sy
à en arriver à ce stade
de reconnaissance et de célébrité.
Né à Trappes, il fait partie d’une fratrie de huit enfants.
L’humoriste a été élevé dans la tradition
peule (communauté issue des pasteurs de
la région sahélo-saharienne, majoritairement musulmane). Sa mère, femme de ménage d’origine mauritanienne et son père,
ouvrier
dans
une
usine
de
pièces
automobiles,
sont
tous
deux de confession musulmane.
De son enfance à Trappes, dans les Yvelines, Omar Sy garde «des souvenirs
géniaux», même s’il évoque «des moments durs et violents». Sa rencontre avec
Jamel Debbouze sera incontestablement
l’élément déclencheur de sa carrière.Tous
deux sont originaires de Trappes et Omar
Sy est ami avec le petit frère de l’humoriste.
L’année du bac, Omar a 20 ans, et Jamel l’embarque à Cannes sur un plateau de Canal +.
Leur
aventure
se
poursuit à Radio Nova, en 1997.
Omar Sy joue les faux auditeurs et rencontre Fred et depuis, les deux comiques
ne se sont jamais quittés, connus notamment par leur célèbre SAV des émissions.
« Je pense que Jamel a vu quelque
chose en moi. Il m’a permis de me
réveiller.»
Aujoud’hui, à 33 ans, Omar Sy
a une vie familiale déjà bien remplie.
Père de quatre enfants, dans une fourchette de 2 à 12 ans, l’acteur est marié
depuis 4 ans et vit avec sa femme, attachée de presse dans la musique, depuis
près de 14 ans. «La famille, c’est tellement important. C’est elle qui me permet de bien faire mon métier, d’être
heureux, comblé, fort», ans, Omar Sy
est papa de 4 enfants avec sa bien-aimée Hélène, attachée de presse dans
la musique, dont il est fou amoureux.
Pour les besoins de son personnage dans
Intouchables, Omar a perdu 10 kilos. En
effet, pour que son personnage de jeune
homme sorti de prison soit crédible, il a
souhaité avoir une carrure plus athlétique
que la sienne. En tous les cas, ce fut un effort bien mérité puisqu’Omar Sy a reçu le
César du meilleur acteur lors de la 37ème
cérémonie des César 2012 face à d’autres
nominés de poids comme Jean Dujardin.
N.P
Et puisqu’il est question de
cinéma, en ce moment,
A L’AFFICHE :
- Sortie le : Vendredi 23 Mars 2012 (A l’affiche)
- Réalisateur : Lucien Jean-Baptiste, Philippe Larue
Avec Lucien Jean-Baptiste, Edouard Montoute,
Loreyna Colombo...
- Durée : 1h32
sis
S ynopPatrick
est un homme rigoureux et borné. Elève brillant aux Antilles, sa mère l'a envoyé à
l'âge de dix ans pour faire ses études en "France". 30 ans plus tard, il est devenu un historien réputé
et fier. Coupé de sa famille et de ses traditions, il s'est intégré au point d'en avoir oublié ses racines...
Un noir devenu "blanc à l'intérieur"... Apprenant que sa mère est sur le point de mourir, il
part en urgence pour la Martinique, avec sa fille unique, et y débarque en plein carnaval.
Durant trois jours, accompagné de son ami d'enfance, l'irrésistible Zamba, il va être emporté
dans un tourbillon de folie, d'émotion, d'humour et de situations rocambolesques.Un voyage
initiatique rythmé par l'ambiance et les couleurs du carnaval. Trois jours qui vont changer sa vie.
Questions à EDOUARD MONTOUTE
COMMENT AVEZ-VOUS VÉCU LE TOURNAGE À L’INTÉRIEUR DU CARNAVAL ?
C’était galvanisant. Je ne me suis jamais
autant senti Zamba que dans ces momentslà. Ces scènes étaient de vrais cadeaux. Je
me suis même permis de boire un petit peu
d’alcool pour être totalement dans la folie
de ces instants-là, d’autant plus que je suis
assez agoraphobe. D’ailleurs, à un moment,
ils m’ont perdu ! Car le carnaval, c’est en fait
tout un fleuve de gens, de chair, de bras. On
a fait beaucoup de plans volés où la caméra
me suit et, à certains moments, je n’entendais
pas le «Coupez» et je continuais ma route.
Porté par la marée humaine, je me retrouvais très loin de l’équipe et incapable de les
repérer d’un coup d’œil pour les rejoindre au
plus vite, car ils étaient tous habillés en rouge
pour ne pas se faire remarquer à l’écran !
(rires). Dans ce cas, il faut remonter le fleuve
et ça n’a rien d’évident, je vous jure ! (rires)
QU’EST-CE QUI VOUS EST APPARU LE
PLUS DIFFICILE À COMPOSER DURANT CE
TOURNAGE ?
La complexité était de creuser à l’intérieur
de la personnalité de Zamba. Dans mon esprit, il y a une violence chez lui. On la perçoit subrepticement dans la manière dont
il parle à sa femme ou dans la façon dont il
poursuit et rattrape à un moment le voleur
du portable de Patrick. Pour moi, pendant
cette période du carnaval, Zamba devient
Obélix : gros mangeur, gros buveur et certainement gros consommateur de substances
interdites pour tenir le coup physiquement.
En fait, il n’a aucune limite, il se permet tout
! Le plus compliqué pour moi fut donc d’aller
chercher les vraies sources de cette violence
qui n’étaient pas expliquées dans le scénario. J’ai ainsi imaginé qu’il avait dû faire un
peu de prison pour des délits mineurs, qu’il
avait eu vraiment des mauvais jours dans sa
vie. C’était vraiment passionnant à composer.
Entretien du dossier de presse Eldora Urania
Ils en parlent !
La violence en soirée !
Quand sortir en boîte de nuit ou même se rendre à un anniversaire
dans le but de s’amuser, profiter de la soirée entre amis ou encore faire
quelques parties de dominos, se transforme en cauchemar, on finit toujours par prononcer le même mot : Violence ! Associée alors aux JEUNES.
En effet, les récents dramatiques évènements nous rappellent que la violence prend une part de plus en plus importante dans ce qui alors n’auraient du rester que de bons souvenirs de soirées joviales et dansantes..
Sur ce douloureux sujet, A2C Mag vous a donné la parole !
«
On peut plus sortir sans craindre les coups de feu ! Dès qu’on commence à s’amuser, ça
tourne en «bal brésilien.». On peut pas continuer comme ca.. On sort pour décompresser
et au final, on repart plus stressés même !
C’est quand même pas d’aujourd’hui qu’il y a des temps (fêtes, ndlr) Pourquoi il faut
systématiquement que ca tourne mal ? Avant, on entendait les jeunes mourir à cause
d’accidents de la route surtout, maintenant c’est carrément coups de couteau, tessons
de verre, etc... Moi, je suis encore jeune (17 ans) et je me dis déjà que si j’ai des enfants, il
y a très peu de chances qu’ils sortent vu déjà le risque pour ma propre génération..
«
«
commente Amélie, 17 ans.
La violence pendant que les jeunes s’amusent est très surprenante.
En
tant
que
parents,
comment
ne
pas
avoir
d’appréhension
quand
nous
laissons
nos
enfants
sortir.
Aujourd’hui une des seules réponses des jeunes reste la violence.
Ils ont été effleurés pendant une danse et cela débouche sur
une réaction disproportionnée. Il y a une perte de maîtrise de
soi et un affaiblissement de la capacité de traiter l’information.
Il est vrai que nos jeunes semblent associer amusement et alcool et malgré ce qu’ils peuvent dire ils n’arrivent pas à gérer cette consommation et par la même leur émotion.
Il va sans dire que nous ne comprenons pas ces comportements
et que les jeunes donnent à voir leurs difficultés à savoir s’amuser.
C’est bien dommage..
s’exprime un parent inquiet;
«
11
Lait de comou
Ingrédients :
- 5 à 6 pots de comou
- 5 à 6 pots d’eau tiède
- Sucre ou lait selon votre goût
Préparation :
Laver les graines de comou,
les mettre dans une marmite,
recouvrir d’eau et mettre sur
le feu à température ambiante.
Eteindre
le
feu,
recouvrir pour garder la chaleur.
Laisser tremper jusqu’à ce que
les graines de comou soient
molles (à peu près 1 heure).
Ensuite, jeter l’eau de cuisson et
ajouter 1 litre d’eau puis brasser toutes les graines de comou.
Enfin,
filtrer
le
lait
que
vous
avez
obtenu.
Divers
La brigade théâtrale Bitchô (cf.
p.recherche des demoiselles pour plusieurs rôles !!
Intéressées ? Envoie ta petite candidature (nom, prénom, âge, motivation et
disponibilités) au mail suivant :
pal.patrice@gmail.com
Vous voulez faire passer une annonce,
un coup de gueule, un message, dans
ce journal, le journal vous donne la
parole. Laisser votre message au
0594 39 09 56
ou par e-mail :
deuxieme.chance@orange.fr.
A2C Mag, journal associatif de l’association Deuxième Chance,
21, cité des manguiers, rue des zagrinettes
Cayenne 97300 Guyane Française
Téléphone : 0594 39 09 56
Télécopie : 0594 39 09 56
E-mail : deuxieme.chance@orange.fr