Problèmes économiques internationaux Sujets d'examen 2010 2014 .pdf


À propos / Télécharger Aperçu
Nom original: Problèmes économiques internationaux Sujets d'examen 2010-2014.pdf
Titre: Problèmes économiques internationaux Sujets d'examen 2010-2014
Auteur: nurbel

Ce document au format PDF 1.4 a été généré par PDFCreator Free 3.5.1, et a été envoyé sur fichier-pdf.fr le 27/06/2020 à 16:09, depuis l'adresse IP 195.220.x.x. La présente page de téléchargement du fichier a été vue 520 fois.
Taille du document: 377 Ko (49 pages).
Confidentialité: fichier public
Auteur vérifié


Aperçu du document


DUT GEA
Diplôme Universitaire de Technologie

Gestion des Entreprises et des Administrations

Problèmes économiques internationaux
Sujets d’examen
Années universitaires 2010-2011 à 2013-2014

Alain Nurbel

ANBL ECONOMIE BANQUE ASSURANCE
Réunion Guadeloupe Martinique

Page 1 sur 49

Document de travail IUT de la Réunion – Juin 2020
Page 2 sur 49

Sommaire

Introduction………………………………………………………………………………………………………………………………………… 05

Sujet d’examen n°1
Samedi 27 mai 2010…………………………………………………………………………………………………………………………….. 06
Sujet d’examen n°2
Jeudi 19 mai 2011………………………………………………………………………………………………………………………………… 17
Sujet d’examen n°3
Mercredi 12 avril 2012…………………………………………………………………………………………………………………………. 23
Sujet d’examen n°4
Jeudi 23 mai 2013………………………………………………………………………………………………………………………………… 31
Sujet d’examen n°5
Jeudi 2 juin 2014………………………………………………………………………………………………………………………………….. 35

Bibliographie 1…………………………………………………………………………………………………………………………………….. 42
Bibliographie 2…………………………………………………………………………………………………………………………………….. 45
Annexe 1……………………………………………………………………………………………………………………………………………… 48
Annexe 2……………………………………………………………………………………………………………………………………………… 49

Page 3 sur 49

Page 4 sur 49

Introduction

Durant les années universitaires 2010-2011 à 2013-2014, la matière « Problèmes économiques
internationaux » a figuré dans la maquette pédagogique de la seconde année du DUT GEA de l’IUT de la
Réunion (Saint-Pierre Terre Sainte) pour un volume horaire de 12H, distribué en six séances de deux heures
en amphithéâtre.
Le contenu de l’enseignement a été structuré autour de deux thématiques de référence : la mondialisation
bancaire et financière. La crise financière de 2007-2008 pour la première1, La mondialisation « industrielle »
ou le rôle des firmes multinationales dans la décomposition internationale des processus productifs pour la
seconde2. Pour préparer cet enseignement, l’auteur a systématiquement cherché à combiner les travaux
des universitaires ayant pignon sur rue (ouvrages, articles de recherche, articles de vulgarisation) et des
articles de la presse économique quotidienne3 qui permettent de donner à l’enseignement une réalité très
concrète, augmentant ainsi les chances de garder intactes l’attention et la discipline des étudiants tout au
long des séances4.
Quant aux sujets d’examen, ils ont été structurés en deux à trois parties, sous la forme de Questionnaires à
réponses uniques (QRU) ou de Questionnaire Vrai ou Faux (QV/F), de Questions à réponses courtes (QRC)
et/ou de Questions de réflexion (QDR). Le tableau ci-dessous récapitule, pour chacune des cinq années
universitaires, la thématique de référence de l’enseignement ainsi que la structure du sujet d’examen.
Année universitaire

Thématique de référence

Partie 1

Partie 2

Partie 3

2009-2010

Thématique 1

QRU

QRC

QDR

2010-2011

Thématique 1 + Thématique 2

QRU

QRC

QDR

2011-2012

Thématique 1 + Thématique 2

QRU

QRC

2012-2013

Thématique 2

QV/F

QRC

2013-2014

Thématique 2

QRU

QDR

Enfin, tous les examens dans la matière « Problèmes économiques internationaux » ont été organisés dans
les mêmes conditions : durée de 3 heures, documents distribués en cours autorisés (Diaporama de
l’enseignant et articles), usage autorisé de la machine à calculer non programmable.

Alain NURBEL
Directeur des études LPBA / Tuteur universitaire
IUT de la Réunion
Terre Sainte, vendredi 11 juillet 2014

1

Le plan détaillé correspondant à cette première thématique de référence est reproduit dans l’annexe 1.
Le plan détaillé de cette seconde thématique de référence est reproduit dans l’annexe 2.
3
Les bibliographies respectives des deux thématiques sont restituées à la fin du présent document.
4
Soulignons que pour la seconde thématique consacrée à la mondialisation « industrielle », l’auteur a bénéficié des économies
d’échelle réalisées pour la préparation du cours de Géoéconomie des entreprises en Licence 3 de Gestion en alternance de l’IAE
de la Réunion.
2

Page 5 sur 49

Sujet d’examen n°1
Jeudi 27 mai 2010

❶ Questionnaire à réponse unique (12 points)
1. La société Standard & Poor’s appartient à la catégorie :
A) des banques de financement et d’investissement.
B) des banques de détail.
C) des agences de notation.
D) des entreprises de marché.
2. Si une dette souveraine est notée « BB + », cela signifie que :
A) la probabilité que le pays n’honore pas sa dette dans les dix ans s’élève à 14%.
B) le pays a une forte capacité de paiement.
C) l’obligation d’Etat est à haut risque.
D) le pays est en situation de défaut.
3. Le 27 avril 2010, Standard & Poor’s dégrade la dette souveraine de la Grèce à :
A) B-.
B) CCC+.
C) D.
D) BB+.
4. Actuellement, la filiale française de Standard & Poor’s est dirigée par :
A) Ariane OBOLENSKY.
B) Carol SIROU.
C) Christian NOYER.
D) Paul VOLCKER.
5. Le premier manuel destiné à conseiller les investisseurs sur les offres de placements des compagnies
de chemin de fer américaines a été publié par :
A) John MOODY en 1909.
B) James TOBIN en 1972.
C) John Maynard KEYNES en 1936.
D) Karl MARX en 1867.

Page 6 sur 49

6. La part du marché mondial de la notation détenue par Standard & Poor’s s’élève à :
A) 60%.
B) 45%.
C) 30%.
D) 15%.
7. D’après Eurostat, le déficit public de la Grèce en proportion de son PIB atteint en 2009 :
A) 13,6%.
B) 23,6%.
C) 33,6%.
D) 43,6%.
8. En 2009, la dette publique de la France en proportion de son PIB atteint :
A) 97%.
B) 77%
C) 87%
D) 107%.
9. Auprès des trois grandes agences de notation, la dette publique de la France est notée :
A) AA-.
B) AA.
C) AA+.
D) AAA.
10. Sur le marché des CDS le 15 mars 2010, le coût d’une protection contre le risque de défaut de la
France s’élève à :
A) 720 points de base.
B) 36 points de base.
C) 360 points de base.
D) 144 points de base.
11. Sur le marché des CDS le 22 avril 2010, on constate qu’il faut débourser 322 000 euros pour bénéficier
d’une protection contre un risque de défaut de la Grèce sur une dette de 5 000 000 d’euros à 5 ans. On
peut donc affirmer que le prix d’un CDS sur la dette grecque atteint :
A) 644 points de base.
B) 3220 points de base.
C) 128,8 points de base.
D) 4 678 000 €.
12. Quand le risque de défaut d’un pays croît, on observe :
A) une baisse du niveau des taux d’intérêt auxquels ce pays peut emprunter sur les marchés financiers.
B) une hausse de son déficit budgétaire.
C) une augmentation du prix d’un CDS sur sa dette souveraine.
D) une chute du prix d’un CDS sur sa dette souveraine.
Page 7 sur 49

13. Actuellement, la fonction de Commissaire européen au marché intérieur et aux services est exercée
par :
A) Timothy GEITHNER.
B) Michel BARNIER.
C) Lord TURNER.
D) Dominique STRAUSS-KAHN.
14. Selon Jean-Marc DANIEL, économiste et professeur à l’Ecole supérieure de commerce de Paris, le
taux d’endettement de la France en 1871 atteint :
A) près de 360%.
B) près de 270%.
C) près de 180%.
D) près de 90%.
15. En février 2010, la France publie sa propre « liste noire » de paradis fiscaux. Elle est composée de :
A) 72 pays.
B) 54 pays.
C) 18 pays.
D) 36 pays.
16. D’après le rapport annuel de la Banque de France pour l’année 2008, le montant total des sommes
mobilisées par les Etats de l’Union Européenne pour soutenir leurs banques représentent :
A) 14% du PIB de l’Union.
B) 42% du PIB de l’Union.
C) 28% du PIB de l’Union.
D) 56% du PIB de l’Union.
17. Selon le rapport annuel de la Banque de France pour l’année 2008, les garanties publiques sur les
dettes bancaires et les prêts directs aux banques que les Etats de l’Union ont accordés représentent :
A) 10% du montant total des sommes engagées au titre des plans de sauvetage.
B) 35% du montant total des sommes engagées au titre des plans de sauvetage.
C) 60% du montant total des sommes engagées au titre des plans de sauvetage.
D) 85% du montant total des sommes engagées au titre des plans de sauvetage.
18. Pour renforcer les fonds propres des entreprises françaises, l’Etat crée le fond stratégique
d’investissement (FSI) :
A) le 20 novembre 2008.
B) le 20 novembre 2007.
C) le 20 novembre 2009.
D) le 20 novembre 2010.

Page 8 sur 49

19. Actuellement, la présidence de la Banque centrale européenne est exercée par :
A) Jean-Pierre JOUYET.
B) Jean-Philippe THIERRY.
C) Christian NOYER.
D) Jean-Claude TRICHET.
20. L’auteur de l’ouvrage intitulé : « Faut-il brûler les banquiers ? », publié en 2009 est :
A) Christian de BOISSIEU.
B) Henri BOURGUINAT.
C) Georges PAUGET.
D) Michel AGLIETTA.
21. La banque Landsbanki est une banque :
A) portugaise.
B) islandaise.
C) grecque.
D) espagnole.
22. Sous la dénomination Icesave se trouvent des comptes bancaires Internet créés par :
A) Lehman Brothers.
B) Landsbanki.
C) Goldman Sachs.
D) Bank of America.
23. Sous la dénomination Euribor, on désigne :
A) le prix de l’argent sur le marché interbancaire.
B) un comité d’experts financiers de la Commission européenne.
C) un collège spécialisé de l’Autorité de Contrôle Prudentiel.
D) une taxe bancaire sur les besoins réglementaires en fonds propres.
24. La Securities and Exchange Commission (SEC) est :
A) le gendarme boursier indien.
B) le gendarme boursier canadien.
C) le gendarme boursier britannique.
D) le gendarme boursier américain.
25. Le Président Directeur Général de Goldman Sachs s’appelle :
A) Lloyd BLANKFEIN.
B) Chris DODD.
C) Ken LEWIS.
D) Greg CURL.

Page 9 sur 49

26. Depuis le 21 janvier 2010, le nouveau gendarme français de la banque et de l’assurance est :
A) l’Autorité de Contrôle Prudentiel (ACP).
B) la Commission bancaire.
C) l’Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles (Acam).
D) la Fédération bancaire française (FBF).
27. Selon Isabelle Augé, experte chez VBF Consulting, la crise financière s’est accélérée et amplifiée avec :
A) les entreprises de marché.
B) la détérioration de la qualité de la signature des Etats.
C) la politique économique américaine favorisant l’accès des ménages modestes aux crédits immobiliers.
D) les hedge funds.
28. La banque HERSTATT fait faillite :
A) le 24 mars 2008.
B) le 15 septembre 2008.
C) en 1974.
D) le 2 avril 2007.
29. Les nouvelles normes prudentielles du secteur bancaire sont regroupées sous l’appellation de :
A) Dispositif VOLCKER.
B) CDO.
C) Solvabilité II.
D) Bâle III.
30. Les deux agences parapubliques américaines spécialisées dans le crédit hypothécaire sont :
A) Morgan Stanley.
B) Fannie Mac et Freddie Mae.
C) Fannie Mae et Freddie Mac
D) JP Morgan.
31. Le nombre de critères considérés par l’OCDE pour définir un paradis fiscal s’élève à :
A) 4.
B) 20.
C) 12.
D) 32.
32. La Continuous Linked Settlement Bank (CLS) est une institution financière créée en 1997 sous l’égide
de la Banque des règlements internationaux. Elle est spécialisée :
A) dans les opérations de change.
B) dans les transactions sur les crédits titrisés.
C) dans les transactions sur les CDS.
D) dans les opérations de fusions et acquisitions entre les banques de financement et d’investissement.

Page 10 sur 49

33. Le Prix du Stratège de l’année 2009 a été attribué à :
A) Baudouin PROT.
B) Jean-Paul CHIFFLET.
C) Georges PAUGET.
D) Augustin DE ROMANET.
34. En Europe, les banques assurent le financement des entreprises pour une part comprise entre :
A) 90 et 100%.
B) 70 et 80%.
C) 10 et 20%.
D) 30 et 50%.
35. Entre 1999 et 2005, trois Etats ont été en cessation de paiements. Il s’agit :
A) de la Russie, du Chili et de l’Islande.
B) de la Grèce, de l’Espagne et du Portugal.
C) de l’Argentine, du Venezuela et du Pakistan.
D) de la Norvège, du Luxembourg et du Canada.
36. En 1982, un pays fait faillite. Il s’agit :
A) du Portugal.
B) du Mexique.
C) du Chili.
D) de l’Argentine.
37. Il existe en France une société spécialisée dans la notation d’entreprises. Il s’agit :
A) de l’ACAM.
B) de l’ACP.
C) de la FBF.
D) de la Coface.
38. Au premier trimestre 2010, le montant total des commissions perçues par les BFI au titre de leurs
activités sur les marchés primaires, de dette et d’actions atteint :
A) 10 milliards de dollars.
B) 70 milliards de dollars.
C) 30 milliards de dollars.
D) 50 milliards de dollars.
39. Le montant des fonds propres qu’une banque est tenue de mobiliser est nul lorsqu’elle achète la
dette :
A) d’un Etat.
B) d’un Etat dont la qualité de la signature est évaluée à AA-.
C) d’une entreprise dont la qualité de la signature est notée AAA.
D) d’une banque dont la qualité de la signature est notée AAA.

Page 11 sur 49

40. L’auteur de l’ouvrage intitulé : « Manuel d’économie bancaire appliquée » et publié en 2007 est :
A) Christian SCHMIDT.
B) Dominique CHABERT.
C) Henri BOURGUINAT.
D) Michel AGLIETTA.
41. Les Etats-Unis ont adopté en 1933 un dispositif légal imposant la clarification et le cloisonnement des
activités bancaires. Il s’agit :
A) de la taxe systémique.
B) de la taxe TOBIN.
C) du dispositif VOLCKER.
D) du Glass-Steagall Act.
42. Joseph STIGLITZ impute la responsabilité de la crise financière :
A) à la politique économique américaine facilitant l’accès à la propriété aux ménages modestes.
B) à la sous-évaluation de la monnaie chinoise.
C) aux banquiers et aux financiers.
D) à un déséquilibre de l’épargne à l’échelle mondiale.
43. Actuellement, le marché des instruments de couverture fonctionne comme :
A) un marché de gré à gré.
B) un marché doté de chambres de compensation.
C) un marché organisé.
D) un marché atomistique.
44. Quand un pays accumule des excédents commerciaux, il s’ensuit :
A) une diminution de ses réserves de change.
B) une augmentation de ses réserves de change.
C) une hausse de la titrisation.
D) une diminution de la titrisation.
45. Selon Beaudoin PROT, Directeur général de BNP Paribas et Président de la FBF :
A) « neuf banques sur dix sont satisfaites de leurs relations avec leurs clients professionnels ».
B) « quatre PME sur dix sont satisfaites de leurs relations avec leurs banques ».
C) « l’image collective des banques a mieux résisté que l’image individuelle de chaque banque ».
D) « l’image individuelle de chaque banque auprès de ses clients a mieux résisté que l’image collective ».
46. Les scénarios qui consistent à placer les banques dans une situation caractérisée par la raréfaction de
la liquidité et par l’impossibilité d’être aidées par les banques centrales sont connus sous l’appellation :
A) d’hypothèses de stress.
B) d’hypothèses de risque systémique.
C) d’hypothèses souveraines.
D) d’hypothèses prudentielles.

Page 12 sur 49

47. En 2006, le montant des crédits subprime produits aux Etats-Unis s’élève à :
A) 2 400 milliards de dollars.
B) 1 800 milliards de dollars.
C) 4 800 milliards de dollars.
D) 600 milliards de dollars.
48. En 2004, la part des crédits supbrime dans le montant total des crédits produits aux Etats-Unis
atteint :
A) 10% environ.
B) 50% environ.
C) 30% environ.
D) 70% environ.
49. En août 2007, le nombre de ménages américains en situation de défaut de paiement s’élève à :
A) 5 074 100.
B) 1 268 525.
C) 3 805 575.
D) 7 611 150.
50. La règle des « 2+28 » appliquée à la production de crédits immobiliers aux Etats-Unis renvoie à un
schéma de financement dans lequel :
A) le taux d’intérêt plancher est fixé à 2 points de base tandis que le taux d’intérêt plafond est égal à 28
points de base.
B) les taux d’intérêt sont variables les deux premières années, puis fixes les années suivantes.
C) les taux d’intérêt sont fixes les deux premières années, puis variables les années suivantes.
D) la somme des taux d’intérêt plancher et plafond ne doit pas dépasser les 30 points de base.
51. Depuis le 1er janvier 2007, les exigences minimales en fonds propres des banques sont calculées
selon :
A) le règle Volcker.
B) la règle des « 2+28 ».
C) le ratio Cooke.
D) le ratio Mac Donough.
52. Si une banque accorde un crédit de 500 000 euros à une entreprise dont la qualité de signature
correspond à un coefficient de pondération du risque de 50%, alors le montant minimum de fonds
propres qu’elle doit mobiliser est égal à :
A) 20 000 euros.
B) 250 000 euros.
C) 750 000 euros.
D) 40 000 euros.

Page 13 sur 49

53. La mise à disposition et la gestion des moyens de paiement relèvent :
A) de la responsabilité de la Commission bancaire.
B) d’un service d’investissement.
C) d’une opération de banque.
D) de la responsabilité de l’Autorité de Contrôle Prudentiel.
54. Le modèle économique qui caractérise le Crédit Agricole SA (C.A.S.A.) est :
A) le modèle de la banque uniquement spécialisée dans la banque de détail.
B) le modèle de la banque universelle.
C) le modèle de la banque uniquement spécialisée dans la gestion d’actifs.
D) le modèle de la banque de financement et d’investissement.
55. La paternité de l’ouvrage intitulé : « L’arrogance de la finance. Comment la théorie financière a
produit le krach » et publié en 2009 revient à :
A) Laure KLEIN.
B) Christian DE BOISSIEU.
C) Patrick ARTUS.
D) Henri BOURGUINAT et Eric BRYS.
56. Si, au titre de l’achat d’une dette souveraine de 2 000 000 euros, une banque doit mobiliser un
montant minimum de fonds propres égal à 240 000 euros, on déduit que :
A) le coefficient de pondération du risque associé à la qualité de la signature de l’émetteur souverain est
égal à 150%.
B) le coefficient de pondération du risque associé à la qualité de la signature de l’Etat est égal à 12%.
C) son produit net bancaire est égal à 1 760 000 euros.
D) son ratio de solvabilité prudentiel est égal à 8,33 environ.
57. Pour calculer le montant minimum de fonds propres qu’elle doit mobiliser lorsqu’elle accorde un
crédit à une entreprise dont la qualité de signature est notée AAA, la banque doit prendre en compte un
coefficient de pondération égal à :
A) 0%
B) 20%.
C) 50%
D) 150%.
58. En détenant des actions, un investisseur est :
A) responsable des décisions d’investissement de la société émettrice.
B) tenu de les conserver dans son portefeuille de titres pendant un an au moins.
C) propriétaire d’une part du capital social de la société émettrice.
D) propriétaire de titres de créances qui lui rapportent des intérêts.

Page 14 sur 49

59. Ce que recouvre le modèle « originate and hold », c’est un modèle de financement de l’économie par
lequel :
A) les entreprises privilégient le canal de la finance directe pour lever les fonds.
B) les entreprises privilégient le canal de l’endettement bancaire pour lever les fonds.
C) les banques créent les risques, mais les sortent de leurs bilans.
D) les banques créent les risques, mais les conservent dans leurs bilans.
60. D’après le rapport de l’OCDE intitulé « Objectif et croissance », la crise financière devrait réduire la
production potentielle à moyen terme de l’ensemble des pays de la zone de :
A) 3%.
B) 12%.
C) 6%.
D) 9%.

Tableau de réponses au QRU
Questions

Réponses

Questions

Réponses

Questions

1

21

41

2

22

42

3

23

43

4

24

44

5

25

45

6

26

46

7

27

47

8

28

48

9

29

49

10

30

50

11

31

51

12

32

52

13

33

53

14

34

54

15

35

55

16

36

56

17

37

57

18

38

58

19

39

59

20

40

60

Réponses

Page 15 sur 49

❷ Répondre aux questions suivantes (4 points)
1°) Les Credit Default Swaps : définition, mécanisme et limites.
2°) L’hypothèse du facteur macroéconomique dans le déclenchement de la crise financière.

❸ Question de réflexion (4 points)
Que pensez-vous de la solution qui consiste à dresser la liste des banques systémiques afin de prévenir les
excès de la finance ?

Page 16 sur 49

Sujet d’examen n°2
Jeudi 19 mai 2011

❶ Questionnaire à réponse unique (6 points)
1. La paternité du concept des « Grandes Unités Inter-territoriales » revient à :
A) John H. Dunning.
B) Alfred Marshall
C) Maurice Bye.
D) Stéphane Hymer.
2. Selon les spécialistes de l’économie géographique, le fait qu’une entreprise décide de se localiser dans
un territoire où il existe déjà de nombreux concurrents s’explique par :
A) des stratégies oligopolistiques.
B) de faibles coûts de production.
C) les politiques régionales d’attractivité.
D) les externalités issues de « l’atmosphère industrielle ».
3. D’après la théorie éclectique, une firme réalise un investissement direct étranger :
A) dès qu’elle est en mesure d’exploiter un des avantages O L I.
B) quand elle constate une discordance entre ses avantages compétitifs et les avantages comparatifs de
son pays d’origine.
C) quand les avantages spécifiques, de localisation et à l’internalisation sont réunis.
D) dès que les avantages spécifiques, de localisation et d’internationalisation sont réunis.
4. L’hypothèse selon laquelle une firme devient multinationale quand elle investit dans une entreprise
étrangère pour en prendre le contrôle a été formulée dès :
A) 1953.
B) 1960.
C) 1919.
D) 1936.
5. Chassez l’intrus :
A) Economies d’échelle.
B) Différenciation.
C) Contrôle de l’offre.
D) Multinationalisation antérieure.

Page 17 sur 49

6. L’investissement mondial fait l’objet d’un rapport annuel élaboré et publié par :
A) la Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement.
B) l’Agence française pour les investissements internationaux.
C) l’OCDE.
D) le FMI.
7. En 2009, la part du PIB mondial réalisée par les filiales étrangères atteint :
A) 51%.
B) 28%.
C) 32%.
D) 11%.
8. En 2008, les firmes multinationales originaires des pays en développement sont au nombre de :
A) 11 000 environ.
B) 58 000 environ.
C) 22 000 environ.
D) 80 000 environ.
9. En 2009, dans la hiérarchie des pays ayant accueilli le plus d’investissements directs étrangers, les
Etats-Unis occupent :
A) la première place.
B) la deuxième place.
C) la troisième place.
D) la quatrième place.
10. En 2009, on observe que plus de 60% des fusions-acquisitions internationales ont lieu :
A) entre firmes de pays développés.
B) entre firmes de pays en développement.
C) entre firmes de pays développés et de pays en développement.
D) entre firmes de pays en développement et de pays en transition.
11. Sur le site de l’AFII, on peut lire que :
A) « la France est le 2e pays investisseur dans le monde ».
B) « la France est le 1er pays investisseur dans le monde ».
C) « la France est le 1er pays d’accueil des investissements étrangers dans le monde ».
D) « la France est le 2e pays d’accueil des investissements étrangers dans le monde ».
12. En 2009, le poids de l’Afrique dans les flux mondiaux d’investissements directs étrangers entrants
s’élève à :
A) 21% environ.
B) 5,5% environ.
C) 14% environ.
D) 0,5% environ.

Page 18 sur 49

13. L’opération par laquelle une entreprise décide de s’implanter à l’étranger afin de sécuriser ses
approvisionnements en matières premières relève :
A) de l’internalisation.
B) de la multinationalisation verticale.
C) de la multinationalisation horizontale.
D) de la clusterisation.
14. Chassez l’intrus :
A) atmosphère industrielle.
B) externalités technologiques.
C) relations non marchandes.
D) coûts de production.
15. Quand une entreprise reproduit à l’identique, dans un pays d’accueil, le processus de production en
vigueur dans son pays d’origine, on dit :
A) qu’elle procède à une décomposition internationale de son processus productif.
B) qu’elle effectue un investissement direct étranger vertical.
C) qu’elle internalise sa production.
D) qu’elle réalise un investissement direct étranger horizontal.
16. Chassez l’intrus :
A) Prato.
B) San Giuseppe Vesuviano.
C) Sassuolo.
D) Biella.
17. La notion de « multinationale légère » est employée pour désigner :
A) les PME européennes qui ne délocalisent à l’étranger qu’un fragment de leur processus de production.
B) les PME émergentes des petites économies insulaires.
C) les PME françaises de l’industrie textile qui se sont délocalisées dans les pays à faibles coûts de maind’œuvre.
D) les PME italiennes qui reproduisent à l’étranger l’environnement des districts.
18. Afin de réussir sa multinationalisation, une firme doit être en mesure :
A) de renouveler ses avantages spécifiques.
B) de transférer ses avantages spécifiques.
C) de vendre ses avantages spécifiques.
D) de concevoir ses grandes fonctions à l’échelle globale.
19. L’Ambassadeur délégué aux investissements internationaux et président de l’AFII s’appelle :
A) Christine Lagarde.
B) David Appia.
C) Jacques Attali.
D) Christian de Boissieu.
Page 19 sur 49

20. La répartition sectorielle des firmes multinationales françaises montre que la banque-assurance
compte pour :
A) 15%.
B) 11%.
C) 5%.
D) 25%.
21. La décision des régulateurs bancaires nationaux d’organiser leurs missions de supervision
prudentielle au sein du Comité de Bâle fait suite :
A) à la faillite de la banque d’affaires Lehman Brothers le 15 septembre 2008.
B) aux évènements du jeudi 24 octobre 1929 à Wall Street.
C) à la faillite du hedge fund LTCM en septembre 1998.
D) au dépôt de bilan de la banque Herstatt en 1974.
22. Lorsqu’une banque prête 10 milliards d’euros à un Etat dont la signature est notée AAA, la charge
réglementaire minimale en fonds propres prévue par les accords de Bâle 2 :
A) est égale à 1,2 milliard d’euros.
B) est nulle.
C) s’élève à 400 millions d’euros.
D) atteint 800 millions d’euros.
23. Les économistes hostiles à la mise en œuvre du principe « too big to fail » pour sauver les
établissements bancaires à risque systémique justifient leur position en mettant en avant :
A) l’importance du risque de marché.
B) l’importance du risque opérationnel.
C) l’existence d’un problème de sélection adverse.
D) l’existence d’un problème d’aléa moral.
24. Dans la théorie économique, l’hypothèse de la dichotomie entre sphère réelle et sphère monétaire
est défendue par :
A) Léon Walras.
B) Milton Friedman.
C) John Maynard Keynes.
D) Richard Cantillon.
25. Le processus selon lequel les entreprises utilisent les marchés de capitaux pour satisfaire leurs
besoins de financement :
A) relève de la finance directe.
B) relève de la finance indirecte.
C) s’accompagne d’un mouvement de spécialisation du système bancaire et financier français.
D) oblige les banques à renoncer aux activités représentatives de l’intermédiation de marché.

Page 20 sur 49

26. Aux Etats-Unis, afin de faciliter l’accès des ménages à la propriété, il a été constaté que les banques :
A) ont distribué des crédits immobiliers à taux fixe.
B) ont distribué des crédits immobiliers avec des mensualités de remboursement à taux variable pendant 2
ans et à taux fixe pendant 28 ans.
C) ont amélioré l’évaluation de leur capacité de remboursement en supposant une hausse régulière des
prix de l’immobilier.
D) ont emprunté de la liquidité auprès de la Fed.
27. Afin de se prémunir contre les risques de contrepartie, les investisseurs font l’acquisition :
A) d’obligations.
B) de dettes souveraines.
C) de crédits subprime.
D) de CDS.
28. Quand une banque transforme des crédits en titres négociables, on dit qu’elle effectue :
A) une opération relevant du modèle Originate and hold.
B) une opération relevant du modèle Originate and distribute.
C) une opération qui augmente les risques qu’elle détient dans son bilan.
D) une opération qui lui permet de se débarrasser de clients à risques.
29. Entre 2001 et 2006, le montant total des crédits subprime distribués par les banques américaines est
passé de :
A) 6 000 à 1 900 milliards d’euros.
B) 1 900 à 6 000 milliards d’euros.
C) 19 à 60 milliards d’euros.
D) 190 à 600 milliards d’euros.
30. Les deux rapports sur le risque systémique publiés en avril 2010 et février 2011 pour le compte du
Ministère de l’économie et des finances ont été rédigés par :
A) Georges Pauget.
B) Jean-François Lepetit.
C) Jean-Claude Trichet.
D) Ben Bernanke.
Tableau de réponses au QRU de la partie 1
Questions
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10

Réponses

Questions
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20

Réponses

Questions
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30

Réponses

Page 21 sur 49

❷ Questions de cours (8 points)
1°) Quels sont les avantages et les inconvénients de la titrisation ?
2°) Que pensez-vous de l’initiative consistant à dresser la liste des établissements bancaires à risque
systémique ?
3°) En quoi consiste la DIPP ?
4°) Afin de pénétrer les marchés étrangers, pourquoi une entreprise préfèrerait-elle exporter plutôt que
d’investir ?

❸ Question de réflexion (6 points)
Quelles principales tendances caractérisent le secteur du textile-habillement français et européen depuis
une décennie ?

Page 22 sur 49

Sujet d’examen n°3
Mercredi 12 avril 2012

❶ Questionnaire à réponse unique (10 points)
1. En 2011, le nombre de projets d’investissements étrangers créateurs d’emplois s’élève en France à :
A) 698.
B) 349.
C) 233.
D) 124.
2. En 2011, le montant des investissements directs étrangers entrants en France s’élève à :
A) 10 milliards de dollars.
B) 211 milliards de dollars.
C) 40 milliards de dollars.
D) 120 milliards de dollars.
3. Entre 2010 et 2011, la part de l’Union européenne dans les investissements directs étrangers destinés
aux pays développés est passée de :
A) 34% à 66%.
B) 66% à 34%.
C) 49% à 55%.
D) 55% à 49%.
4. En 2011, la part de la France dans les investissements directs étrangers destinés à l’Union européenne
est égale à :
A) 85%.
B) 55%.
C) 30%.
D) 10%.
5. D’après un classement international effectué par le magazine Forbes, parmi les 500 plus grandes
entreprises multinationales en 2011, on dénombre :
A) 175 entreprises chinoises.
B) 125 entreprises chinoises.
C) 75 entreprises chinoises.
D) 25 entreprises chinoises.

Page 23 sur 49

6. En 2011, dans les projets d’investissements étrangers créateurs d’emplois destinés au marché
européen, le France représente une part de :
A) 17%.
B) 34%.
C) 51%.
D) 68%.
7. Pour évaluer l’attractivité du « site France » et comprendre les processus de décision dans les choix
d’investissement, la TNS Sofres a construit un baromètre d’opinion auprès des dirigeants d’entreprises
étrangères. La mise en place de ce baromètre date de :
A) 1999.
B) 2009.
C) 1929.
D) 1974.
8. En 2011, le premier pays d’origine des projets d’investissements étrangers en France est :
A) Les Etats-Unis.
B) La Chine.
C) Le Brésil.
D) L’Allemagne.
9. En 2011, la première région d’implantation des nouveaux projets d’investissements étrangers en
France est :
A) La région Rhône-Alpes.
B) L’Aquitaine.
C) Le Nord Pas de Calais.
D) L’Ile-de-France.
10. En 2011, la part du secteur des « services financiers, bancaires et assurances » dans les nouveaux
projets d’investissements étrangers en France s’établit autour de :
A) 10%.
B) 65%.
C) 35%.
D) 2,5%.
11. Dans les importations françaises de tee-shirts en 2011, la part fabriquée au Bangladesh s’élève à :
A) 65%.
B) 2,5%.
C) 11%.
D) 28%.

Page 24 sur 49

12. La dernière usine de fabrication de ski en France est localisée :
A) à Sallanches.
B) à Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs.
C) à Saint-Jean-de-Moirans.
D) à Nevers.
13. Dans un rapport annuel présenté au début du mois de décembre 2011, l’OCDE invite les pouvoirs
publics d’une économie émergente à « réduire l’intervention omniprésente de l’Etat dans l’économie,
lutter contre une corruption endémique et consolider l’Etat de droit ». De quelle économie émergente
s’agit-il ?
A) La Russie.
B) L’Inde.
C) La Turquie.
D) Le Mexique.
14. Les flux mondiaux d’investissements directs étrangers entrants à l’Ile Maurice en 2010 atteignent :
A) 1,6 milliard de dollars.
B) 55 milliards de dollars.
C) 860 millions de dollars.
D) 430 millions de dollars.
15. Le 9 septembre 2011, l’Ile Maurice a signé un accord de libre-échange avec une économie émergente.
Il s’agit :
A) de la Turquie.
B) de l’Egypte.
C) de la Côte-d’Ivoire
D) de la Tunisie.
16. Les pays de la Commission de l’Océan Indien (COI), de la Communauté de développement d’Afrique
australe (SADC) et du Marché commun de l’Afrique de l’Est et de l’Afrique australe (COMESA) forment
ensemble un marché de :
A) 700 millions d’habitants.
B) 20 millions d’habitants.
C) 450 millions d’habitants.
D) 470 millions d’habitants.
17. Assemblée en France à partir de juin 2012, la Yaris Hybride compte des composants importés du
Japon dans une proportion de :
A) 15%.
B) 45%.
C) 60%.
D) 30%.

Page 25 sur 49

18. Les « Entretiens textiles de l’océan indien » (ETOI) sont organisés annuellement par le cluster Textile
Mada Group afin de favoriser des rencontres « B to B » entre fournisseurs et donneurs d’ordre. Entre les
4 et 6 avril 2011, Tananarive a accueilli :
A) les 4e ETOI.
B) les 25e ETOI.
C) les 40e ETOI.
D) les 10e ETOI.
19. Selon les propres termes de Monsieur Vigier de Latour, directeur de MVL Marketing, « nombre de
clients qui avaient abandonné Maurice reviennent en raison des difficultés rencontrées sur le continent
asiatique en général et en Chine en particulier. Nous leur épargnons des problèmes culturels et
linguistiques, tout en leur apportant flexibilité et réactivité aux commandes, un service marketing et
merchandising de qualité, de l’innovation, et de l’adaptabilité » (L’Eco austral, juillet 2011, n°255, pp.2425). A quel secteur d’activité Monsieur Vigier de Latour fait-il référence ?
A) le secteur pétrolier.
B) le secteur agroalimentaire.
C) le secteur bancaire et financier.
D) le secteur textile.
20. L’Agence Française pour les Investissements Internationaux est présidée par :
A) David Appia.
B) Christian de Boissieu.
C) Georges Pauget.
D) Jean-Claude Trichet.
21. La société Standard & Poor’s appartient à la catégorie :
A) des banques de financement et d’investissement.
B) des banques de détail.
C) des agences de notation.
D) des entreprises de marché.
22. Le premier manuel destiné à conseiller les investisseurs sur les offres de placements des compagnies
de chemin de fer américaines a été publié par :
A) John MOODY en 1909.
B) James TOBIN en 1972.
C) John Maynard KEYNES en 1936.
D) Karl MARX en 1867.
23. Quand le risque de défaut d’un pays croît, on observe :
A) une baisse du niveau des taux d’intérêt auxquels ce pays peut emprunter sur les marchés financiers.
B) une hausse de son déficit budgétaire.
C) une augmentation du prix d’un CDS sur sa dette souveraine.
D) une chute du prix d’un CDS sur sa dette souveraine.

Page 26 sur 49

24. Les deux agences parapubliques américaines spécialisées dans le crédit hypothécaire sont :
A) Morgan Stanley et JP Morgan.
B) Fannie Mac et Freddie Mae.
C) Fannie Mae et Freddie Mac
D) Bank of America et Goldman Sachs.
25. Il existe en France un organisme spécialisé dans la notation d’entreprises. Il s’agit :
A) de l’Autorité des marchés financiers.
B) de l’Autorité de contrôle prudentiel.
C) de la Fédération bancaire française.
D) de la Coface.
26. Le montant des fonds propres qu’une banque est tenue de mobiliser est nul lorsqu’elle achète la
dette :
A) d’un Etat.
B) d’un Etat dont la qualité de la signature est évaluée à AA-.
C) d’une entreprise dont la qualité de la signature est notée AAA.
D) d’une banque dont la qualité de la signature est notée AAA.
27. Les Etats-Unis ont adopté en 1933 un dispositif légal imposant la clarification et le cloisonnement des
activités bancaires. Il s’agit :
A) de la taxe systémique.
B) de la taxe TOBIN.
C) du dispositif VOLCKER.
D) du Glass-Steagall Act.
28. La règle des « 2+28 » appliquée à la production de crédits immobiliers aux Etats-Unis renvoie à un
schéma de financement dans lequel :
A) le taux d’intérêt plancher est fixé à 2 points de base tandis que le taux d’intérêt plafond est égal à 28
points de base.
B) les taux d’intérêt sont variables les deux premières années, puis fixes les années suivantes.
C) les taux d’intérêt sont fixes les deux premières années, puis variables les années suivantes.
D) la somme des taux d’intérêt plancher et plafond ne doit pas dépasser les 30 points de base.
29. Depuis le 1er janvier 2007, les exigences minimales en fonds propres des banques sont calculées
selon :
A) le règle Volcker.
B) la règle des « 2+28 ».
C) le ratio Cooke.
D) le ratio Mac Donough.

Page 27 sur 49

30. Ce que recouvre le modèle « originate and hold », c’est un modèle de financement de l’économie par
lequel :
A) les entreprises privilégient le canal de la finance directe pour lever les fonds.
B) les entreprises privilégient le canal de l’endettement bancaire pour lever les fonds.
C) les banques créent les risques, mais les sortent de leurs bilans.
D) les banques créent les risques, mais les conservent dans leurs bilans.
31. « L’atmosphère industrielle » est un concept de théorie économique qui permet de comprendre les
raisons pour lesquelles :
A) les entreprises choisissent d’internaliser leurs productions à l’étranger.
B) les entreprises se lancent dans la décomposition internationale de leurs processus productifs.
C) les entreprises s’implantent à l’étranger.
D) les entreprises d’un même secteur d’activité choisissent de s’implanter les unes proches des autres.
32. D’après le paradigme OLI, une firme prend la décision de s’implanter à l’étranger quand :
A) la taille du marché du pays d’accueil lui permet de réaliser des économies d’échelle.
B) elle peut combiner un avantage compétitif avec des avantages de localisation et d’internalisation.
C) les coûts de transaction y sont faibles.
D) les coûts de production y sont faibles.
33. La théorie synthétique explique les investissements directs étrangers entrants d’un pays par la
conjonction :
A) d’une discordance entre ses avantages comparatifs et les avantages compétitifs de ses firmes nationales
mais une concordance avec les avantages compétitifs des firmes étrangères.
B) d’une concordance entre ses avantages comparatifs et les avantages compétitifs de ses firmes
nationales mais une discordance avec les avantages compétitifs des firmes étrangères.
C) d’un régime fiscal attractif et d’un marché du travail flexible.
D) d’externalités pécuniaires positives et d’externalités technologiques positives.
34. Le premier économiste à avoir accordé une place importante au contrôle de la production étrangère
dans la décision d’une entreprise de s’implanter à l’étranger est :
A) John H. Dunning.
B) Maurice Byé.
C) Alfred Marshall.
D) Stephen Hymer.
35. Le premier économiste à avoir considéré le rôle des effets d’agglomération dans les décisions de
localisation des entreprises est :
A) Alfred Marshall.
B) Maurice Byé.
C) John H. Dunning.
D) Jean-Louis Mucchielli.

Page 28 sur 49

36. L’éclatement international de la chaîne de valeur est caractéristique :
A) de la stratégie de la firme multinationale verticale.
B) de la stratégie de la firme multinationale horizontale.
C) de la stratégie de la firme étrangère.
D) de la stratégie de la firme nationale.
37. Face à la concurrence des pays à faibles coûts de main-d’œuvre, les entreprises européennes du
textile-habillement ont assuré leur pérennité :
A) en adoptant une nouvelle stratégie industrielle et marketing dite fast-fashion.
B) en augmentant l’échelle de leur production afin de diminuer les coûts unitaires.
C) grâce à une décomposition internationale plus poussée de leurs processus productifs.
D) par une stratégie de consolidation de leurs fonds propres appuyée par le Fonds stratégique
d’investissement.
38. Suite aux vagues de délocalisation vers les pays d’Asie à faibles coûts de main-d’œuvre touchant le
secteur européen du textile-habillement, le poids des confectionneurs façonniers dans le chiffre
d’affaires de l’ensemble du secteur, sur la période 1986-2006, est passé de :
A) 34% à 12%.
B) 9% à 39%.
C) 11% à 1%.
D) 35% à 65%.
39. Les recommandations de la Commission Vickers remettent en cause :
A) la séparation entre la banque de détail et la banque de financement et d’investissement.
B) le modèle de la banque universelle.
C) la politique d’argent bon marché de la Banque centrale européenne.
D) le crédit subprime.
40. A quel risque Jean-François Lepetit fait-il référence lorsqu’il écrit en 2010, pour le compte du
Ministère de l’économie et des finances, que « (…) [il] n’est pas clairement identifié dans la
règlementation financière (…), [c’est] un risque de dégradation brutale de la stabilité financière,
provoqué par une rupture dans le fonctionnement des services financiers, et répercuté sur l’économie
réelle » ? :
A) au risque opérationnel.
B) au risque systémique.
C) au risque de marché.
D) au risque de liquidité.

Page 29 sur 49

Tableau de réponses au QRU
Questions

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31

32

33

34

35

36

37

38

39

40

Réponses
Questions
Réponses
Questions
Réponses
Questions
Réponses

❷ Répondre aux questions suivantes (10 points)
1°) Quel est l’apport de Stephen HYMER dans l’analyse des firmes multinationales ?
2°) Quel est le rôle de l’Agence Française des Investissements Internationaux ?
3°) Quels sont les facteurs explicatifs de la forte attractivité du « site France » pour les investissements
directs étrangers entrants ?
4°) Comment une crise du crédit immobilier aux Etats-Unis a-t-elle pu devenir une crise financière à
l’échelle mondiale ?

Page 30 sur 49

Sujet d’examen n°4
Jeudi 23 mai 2013

❶ Questionnaire « Vrai ou Faux » (10 points)



Propositions

1

L’Unité territoriale est l’ancienne appellation des firmes multinationales.

2

Le rôle des économies d’agglomération dans les décisions de localisation
des firmes multinationales a été mis en avant par Stephen HYMER.

3

Maurice BYE est l’auteur de « Multinationales et mondialisation » publié en
1998.

4

La paternité de la notion « d’atmosphère industrielle » revient à Mira
WILKINS.

5

En 1913, le plus gros producteur automobile de Grande-Bretagne s’appelle
FORD.

6

C’est en 1953 que Michelin établit sa première usine aux Etats-Unis.

7

Une entreprise française contrôle une entreprise étrangère lorsqu’elle
détient au moins 10% de son capital social.

8

Ce sont les firmes multinationales verticales qui sont responsables de la
DIPP.

9

La stratégie des firmes multinationales horizontales est guidée par la
recherche de faibles coûts de production.

10

L’investissement direct étranger est réalisé dans une logique de spéculation
boursière.

11

Un investissement de portefeuille dans une entreprise étrangère est réalisé
dans le but de contrôler sa production.

12

Un investissement de portefeuille s’accompagne d’un transfert de
technologie.

13

Répliquer à l’étranger l’ensemble du processus de production installé dans
le pays d’origine : c’est ce qui caractérise la stratégie des FMN horizontales.

14

La théorie éclectique est l’autre appellation du paradigme OLI.

15

Dans le paradigme OLI, c’est la totale discordance entre avantages
compétitifs et avantages comparatifs qui explique les IDE sortants.

Vrai

Faux

Page 31 sur 49



Propositions

16

Le point commun fondamental aux différents modes de pénétration des
marchés étrangers réside dans la présence obligatoire de l’avantage O.

17

En l’absence simultanée d’avantages à la localisation et à l’internalisation, la
pénétration des marchés étrangers passe par l’exportation.

18

La différenciation des produits fait partie de l’avantage spécifique de la
firme.

19
20

VRAI

FAUX

Pour profiter des avantages à la localisation du pays d’accueil et diminuer le
risque de se faire voler ses droits de propriété, l’entreprise multinationale
doit internaliser sa production.
Le phénomène d’IDE sortant avec réimportation s’explique par la
discordance totale entre avantages compétitifs et avantages comparatifs.

21

Quand des entreprises d’un même secteur d’activité s’agglomèrent en un
même territoire, on doit s’attendre à une baisse des coûts de transaction.

22

La paternité de la théorie synthétique revient à T. SCITOVSKY.

23

Le GREMI est un centre de recherches spécialisé dans l’analyse des firmes
multinationales.

24

Le Directeur général de l’OMC s’appelle Pascal LAMY.

25

Le Directeur général de la CNUCED s’appelle David APPIA.

26

Les flux d’investissements directs étrangers entrants en France atteignent
près de 60 milliards de dollars en 2012.

27

En 2012, les Etats-Unis sont le premier pays d’accueil des flux
d’investissements directs étrangers.

28

Les flux d’IDE entrants en Chine atteignent près de 270 milliards de dollars
en 2012.

29

Le montant cumulé des flux d’IDE entrants des dix premiers pays d’accueil
s’élève environ à 720 milliards de dollars en 2012.

30

Parmi les dix premiers pays d’accueil des flux d’investissement directs
étrangers, on trouve quatre pays européens.

31

Les flux mondiaux d’IDE entrants passent tout juste la barre des 1 500
milliards de dollars en 2011.

32

En 2011, la valeur du stock mondial d’IDE entrants tourne autour des 70 000
milliards de dollars.

33

En 2011, la valeur ajoutée des filiales étrangères des groupes
multinationaux se situe autour de 1 000 milliards de dollars.

34

Les pays en développement représentent 22% des flux mondiaux d’IDE
entrants en 2011.

35

Entre 1990 et 2011, les flux mondiaux d’IDE entrants (en milliards de
dollars) ont augmenté de 650%.

Page 32 sur 49



Propositions

36

En 2012, on dénombre 993 projets d’investissement étrangers créateurs
d’emplois en France.

37

Près de 260 000 emplois ont été créés en France en 2012 grâce aux projets
d’investissement étrangers.

38

En 2012, on dénombre exactement 113 projets d’investissement allemands
créateurs d’emplois en France.

39

En France, l’industrie manufacturière capte en 2012 près de 64% des projets
d’investissement étrangers créateurs d’emplois.
Dans l’industrie manufacturière française en 2012, c’est le secteur des
« équipements électriques et informatiques » qui a accueilli le plus de
projets d’investissement étrangers créateurs d’emplois.

40

VRAI

FAUX

Tableau de réponses au questionnaire « Vrai ou faux »
Questions

VRAI

FAUX

Questions

1

21

2

22

3

23

4

24

5

25

6

26

7

27

8

28

9

29

10

30

11

31

12

32

13

33

14

34

15

35

16

36

17

37

18

38

19

39

20

40

VRAI

FAUX

Page 33 sur 49

❷ Questions à réponses courtes (10 points)
1°) Qu’est-ce qu’un investissement direct étranger ?
2°) Pourquoi, dans les statistiques de la CNUCED, subsiste-t-il une différence entre les valeurs des flux
mondiaux d’investissements directs étrangers entrants et sortants ?
3°) Qu’est-ce qui différencie l’AFII de la CNUCED dans l’enregistrement de l’investissement direct
étranger ?
4°) Comment la théorie synthétique explique-t-elle le phénomène de l’IDE sortant suivi de la réimportation
dans le pays d’origine ?
5°) Pour John H. DUNNING, quelle règle doit être respectée pour réaliser un investissement direct à
l’étranger ?
6°) Comment définie-t-on les coûts de transaction ?
7°) Qu’est-ce que l’internalisation ?
8°) Citez les 5 facteurs qui favorisent ensemble l’innovation dans les territoires locaux.
9°) Quel est le rôle de la CNUCED ?
10°) Quelles sont les principales missions de l’AFII ?

Page 34 sur 49

Sujet d’examen n°5
Jeudi 2 juin 2014

❶ Questionnaire à réponse unique (6 points)
1. D’après les premières estimations de la CNUCED pour l’année 2013, les flux mondiaux
d’investissements directs étrangers entrants, par rapport à l’année 2012 :
A) ont diminué.
B) sont restés stables autour des 1 300 milliards de dollars.
C) atteignent les 1 460 milliards de dollars.
D) ont retrouvé leur niveau de 2011 autour des 1 650 milliards de dollars.
2. D’après les premières estimations de la CNUCED pour l’année 2013, la part des pays développés dans
les flux mondiaux d’investissements directs étrangers entrants :
A) a augmenté de 2 points de pourcentage par rapport à 2012.
B) s’établit juste en dessous de la barre des 40%.
C) tombe en dessous de la barre des 30%.
D) gagne 0,5 point de pourcentage par rapport à 2012 pour atteindre la barre des 42%.
3. En 2012, la part des 10 premiers pays d’accueil dans les flux mondiaux d’investissements directs
étrangers entrants est comprise entre :
A) 53% et 54%.
B) 43% et 44%.
C) 33% et 34%.
D) 23% et 24%.
4. En 2012, la part des 2 premiers pays d’accueil dans les flux mondiaux d’investissements directs
étrangers entrants atteint près de :
A) 14%.
B) 20%.
C) 26%.
D) 32%.
5. Sur la période 2010-2012, la valeur ajoutée moyenne des filiales étrangères des groupes
multinationaux :
A) augmente de 872 milliards de dollars.
B) s’élève à 68 465 milliards de dollars.
C) atteint les 6 200 milliards de dollars.
D) diminue de 13% environ.
Page 35 sur 49

6. En 2012, les flux mondiaux d’investissements directs étrangers sortants des pays de l’ALENA s’élèvent
à:
A) 410 milliards de dollars environ.
B) 383 milliards de dollars.
C) 80 milliards de dollars.
D) 355 milliards de dollars.
7. En 2012, le montant total des flux d’investissements directs étrangers sortants des pays de l’Union
Européenne s’élève à :
A) 318 milliards de dollars.
B) 122 milliards de dollars.
C) 103 milliards de dollars.
D) 274 milliards de dollars.
8. En 2012, la part moyenne de la France dans le chiffre d’affaires mondial réalisé par les banques et les
sociétés d’assurance cotées à la Bourse de Paris est comprise entre :
A) 17% et 18%.
B) 8% et 9%.
C) 41% et 42%.
D) 32% et 33%.
9. Sur la période 2000-2012, le nombre moyen d’emplois créés ou sauvegardés en France par les projets
d’investissements étrangers créateurs d’emplois :
A) est égal à 30 218.
B) a reculé de près de 36,5%.
C) est égal à 22 932.
D) a diminué de 7 286 unités par rapport à la période 1993-1999.
10. En 2012, la part des pays de la zone euro dans le nombre total de projets d’investissements étrangers
créateurs d’emplois en France est d’environ :
A) 40%.
B) 30%.
C) 50%.
D) 65%.
11. En 2012, la proportion des projets d’investissements étrangers créateurs d’emplois en France, ayant
permis de créer ou sauvegarder au moins 1 000 emplois, s’élève environ à :
A) 50%.
B) 56%.
C) 60%
D) 66%.

Page 36 sur 49

12. Sur la période 1993-2012, les données sur les projets d’investissements étrangers créateurs d’emplois
en France indiquent que la barre des 30 000 emplois créés ou sauvegardés annuellement a été franchie :
A) 7 fois.
B) 5 fois.
C) 2 fois.
D) 9 fois.
13. En 2012, la répartition sectorielle des projets d’investissements étrangers créateurs d’emplois en
France indique que :
A) l’industrie manufacturière représente environ 36% du total des emplois créés ou sauvegardés.
B) les Matériels aéronautiques, navals et ferroviaires représentent une proportion de 16,5% des emplois
créés ou sauvegardés dans l’industrie manufacturière.
C) 4 secteurs manufacturiers concentrent près de 39% des emplois créés ou sauvegardés en France.
D) près de 4 300 emplois ont été sauvegardés chez les Constructeurs automobiles et équipementiers.
14. Sur la période 2008-2012, la part de l’ensemble formé par l’Ile-de-France et la région Rhône-Alpes
dans le nombre total des projets d’investissements étrangers créateurs d’emplois en France :
A) atteint près de 48%.
B) est égale à 42%.
C) s’établit juste au-dessus du seuil des 65%.
D) atteint près de 35%.
15. Dans les régions françaises où les projets d’investissements étrangers ont permis de créer entre
10 000 et 20 000 emplois sur la période 2008-2012, le nombre moyen d’emplois créés ou sauvegardés par
projet est de l’ordre de :
A) 60 emplois.
B) 89 emplois.
C) 39 emplois.
D) 44 emplois.
16. Le nombre total de projets d’investissements étrangers créateurs d’emplois et d’activités nouvelles
que les 15 premières métropoles mondiales ont accueillis en 2013 s’élève à :
A) 1 650.
B) 693.
C) 2 013.
D) 1 798.
17. Les processus productifs de la Volvo S40 sont décomposés internationalement entre :
A) 6 pays.
B) 10 pays.
C) 12 pays.
D) 8 pays.

Page 37 sur 49

18. L’usine de la firme italienne ALENIA dans laquelle est fabriqué le fuselage central du Boeing 787
Dreamliner est implantée à :
A) Bologne.
B) Grottaglie.
C) Foggia.
D) Parme.
19. Dans les districts industriels italiens spécialisés dans le textile, une entreprise emploie en moyenne :
A) entre 6 et 7 salariés.
B) entre 16 et 17 salariés.
C) entre 3 et 4 salariés.
D) entre 9 et 10 salariés.
20. En 2013, le nombre de voitures que le groupe PSA Peugeot-Citroën a vendues en Chine s’élève à :
A) 550 000 unités.
B) 350 000 unités.
C) 150 000 unités.
D) 750 000 unités.
21. Dongfeng Peugeot-Citroën est une joint-venture détenue par PSA Peugeot-Citroën et le groupe
chinois Dongfeng Motor Corporation. Sa création date de :
A) 1982
B) 1972.
C) 1992.
D) 1962.
22. La société FAURECIA, un équipementier automobile possédant de nombreuses implantations
internationales, est une filiale du groupe :
A) Volkswagen.
B) Fiat.
C) Renault.
D) PSA Peugeot-Citroën.
23. Chassez l’intrus :
A) Crédit Agricole SA.
B) PSA Peugeot-Citroën.
C) Renault.
D) Société Générale.
24. C’est en 1907 que Michelin implante sa première usine :
A) en Grande-Bretagne.
B) au Canada.
C) en Allemagne.
D) aux Etats-Unis.
Page 38 sur 49

25. Les concepts de cluster et de district industriel ont été engendrés par les travaux :
A) d’Alfred MARSHALL.
B) de John H. DUNNING.
C) de Jean-Louis MUCCHIELLI.
D) de Maurice BYE.
26. Dans la théorie éclectique de John H. Dunning, une firme réalisera un investissement direct étranger :
A) si les avantages O et I sont réunis simultanément.
B) si les avantages O et L sont réunis simultanément.
C) si les trois avantages O, L, I sont réunis simultanément.
D) dès qu’elle possède un avantage compétitif.
27. L’avantage « I » du paradigme OLI est un avantage :
A) à l’internalisation.
B) à l’internationalisation.
C) à l’intégration.
D) à l’imperfection des marchés.
28. Dans la théorie synthétique de Jean-Louis Mucchielli, lorsqu’une entreprise « nationale » veut à la
fois tirer bénéfice des faibles coûts de production d’un pays d’accueil et de la dynamique de la demande
de son pays d’origine, elle va adopter la stratégie consistant à :
A) produire et vendre à l’étranger.
B) répliquer dans le pays d’accueil tout le processus de production en vigueur dans son pays d’origine.
C) effectuer un IDE entrant suivi d’une réexportation.
D) effectuer un IDE sortant suivi d’une réimportation.
29. Quand une firme constate l’existence d’une discordance totale entre ses avantages compétitifs et les
avantages comparatifs de son pays d’origine, elle sera incitée :
A) à produire et vendre exclusivement dans son pays d’origine.
B) à exporter sa production.
C) à effectuer un investissement direct étranger horizontal.
D) à effectuer un investissement direct étranger vertical.
30. C’est une succession de discordances partielles entre ses avantages compétitifs d’une part et les
avantages comparatifs de son pays d’origine et des pays d’accueil potentiels d’autre part qui incitera une
firme à mettre en œuvre une stratégie :
A) de fragmentation de ses processus productifs à l’échelle internationale.
B) de décomposition de ses processus productifs.
C) de multinationalisation horizontale.
D) de différenciation verticale.

Page 39 sur 49

31. Toutes choses étant égales par ailleurs, la qualité de l’environnement contractuel d’un pays d’accueil
peut inciter une firme étrangère à s’y implanter car :
A) les coûts de fabrication sont plus faibles.
B) les coûts de production sont plus élevés.
C) les coûts de transaction sont plus faibles.
D) les coûts de transaction sont plus élevés.
32. La Silicon Valley est un territoire de San Francisco spécialisé :
A) dans l’industrie agroalimentaire.
B) dans l’industrie automobile.
C) dans l’industrie textile.
D) dans les industries de pointe et la haute technologie.
33. En 2012, le poids de la Silicon Valley dans le PIB des Etats-Unis (qui est de l’ordre de 15 000 milliards
de dollars) est d’environ :
A) 13,3%.
B) 3,3%.
C) 23,3%.
D) 9,3%.
34. A la première place du classement international des clusters européens, on trouve :
A) l’Ile-de-France.
B) la Silicon Valley.
C) le Silicon Fen.
D) Prato.
35. Chassez l’intrus :
A) Kermel.
B) Plastic Omnium.
C) Faurecia.
D) Valeo.
36. Parmi les entreprises du CAC 40, elles sont 5 à avoir leur siège social hors de France. Il s’agit de :
A) Unibail-Rodamco, LVMH, Essilor, Danone et Legrand.
B) EADS, Vallourec, Alstom, Kering et Technip.
C) Arcelor Mittal, Solvay, Gemalto, EADS et STMicroelectronics.
D) Capgemini, Sanofi, Schneider Electric, Publicis et Total.
37. Le phénomène des délocalisations itinérantes est le résultat :
A) de la perte de l’avantage à l’internalisation.
B) de l’atténuation des avantages compétitifs des firmes multinationales.
C) de l’atténuation des avantages comparatifs de demande des pays émergents.
D) de l’atténuation des avantages comparatifs de coût des pays à bas salaires.

Page 40 sur 49

38. L’analyse des caractéristiques des projets d’investissement créateurs d’emplois en France pour
l’année 2012 montre que :
A) plus de 90% d’entre eux concernent la création d’un nouveau site ou l’extension d’un site existant.
B) moins de 50% d’entre eux concernent la création d’un nouveau site ou l’extension d’un site existant.
C) plus de 90% d’entre eux concernent la reprise d’un site en difficulté.
D) moins de 50% d’entre eux concernent la reprisé d’un site en difficulté.
39. Près de 46% des créations de nouveaux sites portées par les projets d’investissements étrangers
créateurs d’emplois en France en 2012 concernent :
A) la fonction logistique.
B) la fonction de centre de décision.
C) la fonction de production/réalisation.
D) la fonction R&D, Ingénierie, Design.
40. Toutes choses étant égales par ailleurs, l’appréciation de l’euro peut inciter les entreprises
exportatrices françaises :
A) à s’implanter à l’étranger pour contourner la perte de compétitivité-prix à l’exportation.
B) à adopter un processus de production plus intensif en facteur travail.
C) à augmenter l’échelle de la production.
D) à augmenter leurs marges.

Tableau de réponses au QRU
Questions

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

16

17

18

19

20

21

22

23

24

25

26

27

28

29

30

31

32

33

34

35

36

37

38

39

40

Réponses
Questions
Réponses
Questions
Réponses
Questions
Réponses

❷ Sujet de réflexion (14 points)
En vous appuyant sur vos notes de cours et en exploitant vos propres connaissances personnelles, il vous
est demandé de rédiger une introduction générale et un plan détaillé équilibré correspondant au sujet de
réflexion suivant :
Le commerce intra-firme des groupes multinationaux est-il compatible avec les objectifs de politique
économique des pays d’accueil ?

Page 41 sur 49

Bibliographie 1
Les références ci-dessous correspondent à la thématique dominante intitulée : « La mondialisation
bancaire et financière. La crise financière de 2007-2008 ».
A) Ouvrages
ARTUS, P., 2008, Globalisation. Le pire est à venir, Editions La Découverte, 165p.
BOISSIEU (de), C. (sous la direction de), 2009, Les systèmes financiers. Mutations, crises et régulation, 3e
édition, Economica, 227p.
BOURGUINAT, H., E. BRIYS, 2009, L’arrogance de la finance. Comment la théorie financière a produit le
krach, Editions La Découverte, 238p.
KLEIN, L., 2008, La crise des subprimes. Origines de l’excès de risque et mécanismes de propagation, Revue
Banque Edition, 154p.
B) Articles de la presse économique classés par dossiers thématiques
DT n°1 – Les CDS
« Les CDS, des opérations opaques et difficiles à réguler », Le Figaro, 12 mars 2010, p.22.
« La régulation du marché des CDS nécessite un accord international », Les Echos, 2 mars 2010, p.25.
« Michel Barnier audite le marché des dérivés de crédit », La Tribune, 8 mars 2010, p.29.
« Le régulateur britannique souligne les risques d’un encadrement excessif des dérivés », Les Echos, 12
mars 2010, p.32.
« CDS : une réglementation contre-productive », La Tribune, 15 mars 2010, p.11.
« Paris, Berlin et Athènes exigent une enquête sur le rôle des CDS », La Tribune, 12 mars 2010, p.29.
« Spéculation sur CDS d’Etat : l’interdiction reste à appliquer », Les Echos, 11 mars 2010, p.32.
DT n°2 – Impacts de la crise financière
« La crise a amputé le potentiel de croissance des pays membres de l’OCDE », Les Echos, 11 mars 2010, p.8.
« Partout dans le monde, la crise provoque un emballement des dettes publiques », Le Monde, 24
septembre 2009 (2p.).
« Des niveaux jamais observés en temps de paix », Le Monde, 24 septembre 2009.
« Les inquiétudes sur la qualité des dettes souveraines se renforcent », Les Echos, 7 janvier 2010, p.28.
« Les Islandais refusent l’ardoise de la crise », La Tribune, 8 mars 2010, p.8.
« Islande : une faillite peu ordinaire », Alternatives Economiques, n°277 février 2009, pp.64-65.
« Déficits : Berlin au diapason de Bruxelles, Paris de plus en plus isolé », Les Echos, 12 novembre 2009.
« Trichet relativise la gravité des déficits budgétaires au sein de la zone euro », Les Echos, 5 février 2010,
p.8.

Page 42 sur 49

DT n°3 – Débats sur la responsabilité des banques
ATTALI, J., 2009 (entretien avec), « Les banquiers doivent réapprendre la modestie », Enjeux Les Echos,
n°253, janvier, p.62.
BIACABE, J.-L., BOISSIEU (de), C., 2009, « Grandes manœuvres dans la banque », Les Echos, 9 novembre.
BOISSIEU (de), C., 2010, « Régulation et taxation des banques : où va-t-on ? », Les Echos, 8 février, p.13.
JORION, P., 2010, « Il faut des mesures chirurgicales », L’Express, n°3059, 18-24 février, p.62.
LE MONDE, 2009, « L’aide financière versée aux banques rapporte de l’argent aux Etats », 16 septembre.
PAUGET, G., 2009, « Le dirigeant s’interroge sur la validité du modèle de banque universelle à la
française », Les Echos, 9 novembre.
PROT, B., 2010 (entretien avec), « Les banques françaises n’ont rien coûté au contribuable », La Tribune, 11
février 2010, p.12
SALIN, P., 2010, « Quand les bonus servent de bouc émissaire », La Tribune, 13 janvier 2010, p.13.
STIGLITZ, J., 2010, « L’écrasante responsabilité des banquiers », Le Nouvel Observateur, 4-10 mars, pp.8687.
DT n°4 – Débats sur la gouvernance économique et financière mondiale
AGLIETTA, M., 2010, (entretien avec), « Le défi du XXI siècle sera de gérer la fluctuation d’un système
monétaire polycentrique : dollar, zone euro, zone yuan », Enjeux Les Echos, n°266, mars, pp.58-60.
MADDISON, A., 2009, (entretien avec), « La gouvernance économique mondiale n’est pas pour demain »,
Enjeux Les Echos, n°254, février, pp.74-77.
ORLEAN, A., 2009, « Crise financière : l’erreur du G20 », Alternatives Economique, n°283, septembre, pp.8385.
RODRIK, D., 2010, « L’illusion de la coordination financière internationale », La Tribune, 25 février 2010,
p.13.
DT n°5 – Solutions concrètes pour renforcer la régulation bancaire et financière
« Taxer les banques, l’idée qui monte en Europe », La Tribune, 12 mars 2010, p.24.
« Le FMI prépare une taxe sur les banques dangereuses », Le Monde, 10 novembre 2009.
« Taxe Tobin : le retour », Alternatives Economiques, n°284, octobre, pp.66-67.
« G20 : les Etats-Unis enterrent l’idée d’une « taxe Tobin » », Les Echos, 9 novembre.
« Bâle III : les banques ne veulent pas « avaler une soupe indigeste » », Les Echos, 5 février, p.32.
« Bâle III coûterait à l’Europe 139 milliards d’euros de fonds propres bancaires », La Tribune, 11 janvier
2010, p.23.
« Washington défend le dispositif Volcker face aux résistances de Wall Street », Les Echos, 5 mars 2010,
p.32.
« L’étau se resserre autour des paradis fiscaux », La Croix, septembre 2009.
« Paris a adopté sa propre « liste noire » de 18 paradis fiscaux », La Tribune, 16 février 2010, p.10.
« L’Europe cherche un compromis sur les hedge funds », La Tribune, 15 mars 2010, p.20.
« Hedge Funds : contrôle et régulation, une absolue nécessité », Revue Banque, n°716, septembre 2009,
pp.85-86.
« Michel Barnier promet à la City une « régulation intelligente » », Les Echos, 15 janvier 2010, p.33.

Page 43 sur 49

« Les agences de notation, première industrie supervisée au niveau européen », Les Echos, Lundi 7
décembre 2009.
« L’Autorité de contrôle prudentiel au complet », La Tribune, 8 mars 2010, p.27.
« La nouvelle autorité de contrôle des banques et des assurances est opérationnelle », Les Echos, 10 mars
2010, p.30.
« Les trois grands chantiers de l’autorité », Les Echos, 10 mars 2010, p.30.
« Bercy veut faire de l’autorité de contrôle prudentiel un modèle pour l’Europe », les Echos, 10 mars 2010,
p.24.

Page 44 sur 49

Bibliographie 2
Les références ci-dessous correspondent à la thématique dominante intitulée : « La mondialisation
« industrielle » ou le rôle des firmes multinationales dans la décomposition internationale des processus
productifs ».
A) Ouvrages de référence
MOUHOUD, E.-M., 2014, Mondialisation et délocalisation des entreprises, Repères La Découverte, 4e
édition, 128p.
MUCCHIELLI, J.-L., 1998, Multinationales et mondialisation, Editions du Seuil, 373p.
MUCCHIELLI, J.-L., 2008, Mondialisation. Chocs et mesure, Hachette, 160p.
B) Etudes et Rapports
AFII, 2012, Doing business in France. Edition 2012, 104p.
AFII, 2012, Investissements étrangers créateurs d’emploi en France. Bilan 2011, 99p.
AFII, 2013, Investissements étrangers créateurs d’emploi en France. Rapport annuel 2012, 94p.
AFII, 2013, Annuaire des agences régionales de développement économique, 76p.
CNUCED, 2013, Rapport 2013 sur l’investissement mondial, 264p.
CNUCED, 2013, Rapport 2013 sur le commerce et le développement, 186p.
CNUCED, 2013, Manuel de statistiques de la CNUCED, 522p.
DHONT-PELTRAULT, E., MONTOUT, S., 2010, Tableau de bord de l’attractivité de la France, Conseil
d’analyse stratégique, 68p.
Ministère de l’Economie et des Finances, Délégation interministérielle à l’aménagement du territoire et à
l’attractivité régionale (DATAR), Centre d’analyse stratégique (CAS), Agence française pour les
investissements internationaux (AFII), 2012, Tableau de bord de l’attractivité de la France. Edition 2012,
71p.
C) Articles de vulgarisation de la théorie et de l’analyse économiques
AHMED, M., 2009, « La lente mondialisation des pays à faible revenu », Problèmes économiques, n°2965,
18 février, pp.33-36.
AMMAR, G., ROUX, N., 2011, « Délocalisation et nouveau modèle économique : le cas du secteur textilehabillement », Problèmes économiques, mercredi 2 mars, n°3014, pp.13-19.
BENSIDOUN, I., GAULIER, G., LEMOINE, F., UNAL, D., 2009, « Les pays émergents dans le commerce
international de l’UE », Problèmes économiques, n°2984, 9 décembre, pp.43-47.
BOUYSSOU, R., 2009, « Multinationales des pays émergents : les nouveaux champions », Problèmes
économiques, n°2962, 7 janvier, pp.7-12.
BRIERE, H., 2010, « Au loin, les multinationales du Sud s’activent », Problèmes économiques, n°2993, 14
avril, pp.15-19.
CAMIERE, M., 2009, « Les districts industriels italiens à rude épreuve », Alternatives économiques, n°282,
juillet-août, pp.44-46.

Page 45 sur 49

CHEVALIER, M., 2008, « Les multinationales du Sud à l’assaut du monde », Alternatives économiques, horssérie n°76, 2e trimestre, pp.72-73.
CNUCED, 2010, « IDE : la reprise ! », Problèmes économiques, n°3007, mercredi 24 novembre, pp.29-33.
CNUCED, 2011, « Les pays émergents nouveaux « poids lourds » de l’IDE », Problèmes économiques,
n°3031, 23 novembre, pp.30-34.
FONTAGNE, L., TOUBAL, F., 2010, « Investissement direct étranger et performances des entreprises »,
Conseil d’Analyse Economique, n°2, mars, 4p.
LAUTIER, M., 2009, « Les investissements étrangers et l’attractivité structurelle des pays du sud de la
Méditerranée », Problèmes économiques, n°2981, mai-juin, pp.40-43.
LORENZI, J.-H., 2012, « L’économie française à l’heure de la mondialisation et de la crise : atouts et
handicaps », Problèmes économiques, hors-série septembre, pp.16-23.
MOUHOUD, E.-M., 2011, « Territoires et localisation des activités. Vers une relocalisation des activités
industrielles ? », Cahiers français, n°365, pp.44-49.
MOUSLI, M., 2009, « Kenichi Ohmae, le stratège de la firme globale », Alternatives économiques, n°278,
mars, pp.75-77.
MUCCHIELLI, J.-L., 2009, « Délocalisations : nouvelles tendances », Problèmes économiques, n°2979, 30
septembre, pp.36-41.
PORTNOFF, A.-Y., 2010, « Quand les délocalisations deviennent des erreurs stratégiques », Problèmes
économiques, n°3003, mercredi 29 septembre, pp.20-26.
PROBLEMES ECONOMIQUES, 2012, « Les IDE retrouvent leur niveau d’avant la crise. Rapport sur
l’investissement dans le monde 2012. CNUCED », Problèmes économiques, n°3056, première quinzaine de
décembre, pp.38-44.
RAINELLI, M., 2011, « Mondialisation et entreprises : quelles interactions ? D’une vague de mondialisation
à l’autre : qu’est-ce qui a changé pour les entreprises ? », Cahiers français, n°365, novembre-décembre,
pp.3-7.
SAINT-ETIENNE, C., 2010, « Les grandes métropoles au cœur de la globalisation », Problèmes économiques,
n°3005, mercredi 27 octobre, pp.45-48.
D) Articles de presse économique
BOURDILLON, Y., 2011, « L’OCDE dénonce l’environnement des affaires en Russie », Les Echos, mardi 13
décembre, p.5.
CHERKI, M., 2010, « Haier s’implante dans les téléviseurs en Europe », Le Figaro, jeudi 9 septembre, p.30.
COMBE, E., 2012, « La qualité doit devenir le mot d’ordre de toute notre économie », Les Echos, jeudi 29
novembre, p.36.
COMBE, E., 2013, « Commerce extérieur : la France doit miser sur tous ses points forts », Les Echos,
vendredi 11 janvier, p.12.
COMBE, E., MUCCHIELLI, J.-L., 2011, « La compétitivité passe avant tout par la qualité », La Tribune, jeudi
10 novembre 2011, p.30.
CORIS, M., 2012, « Délocaliser n’est pas une fatalité », Le Monde, mardi 20 février, p.18.
DE LA GRANGE, A., 2010, « Les entreprises européennes en Chine se plaignent toujours de blocages », Le
Figaro, lundi 3 septembre, p.20.
DE LA GRANGE, A., 2010, « La Chine est devenue le cinquième investisseur mondial », Le Figaro, vendredi 7
septembre, p.18.

Page 46 sur 49

DE MAUPEOU, G., 2014, « Renault-Nissan : l’anniversaire d’une union d’exception », Les Echos, jeudi 10
avril, p.13.
DESNE, J., 2013, « Chine : les investissements étrangers en baisse », Le Figaro, jeudi 17 janvier, p.22.
EGLOFF, E., PLUYETTE, C., 2013, « Renault : l’international passe devant l’Europe », Le Figaro, samedi 19dimanche 20 janvier 2013.
EVENO, A., 2014, « La carte des coûts de production chamboulée », Le Monde, samedi 26 avril, p.5.
FREYSSENET, M., 2013, « PSA, Renault : où est l’erreur ? Ces constructeurs auraient pu s’inspirer de
Volkswagen », Le Monde, samedi 19 janvier, p.14.
GRESILLON, G., 2011, « Monter en gamme ou périr, le nouveau dilemme chinois », Les Echos, lundi 7
novembre, p.11.
GRESILLON, G., 2014, « La Chine face à l’inéluctable hausse de ses coûts de production », Les Echos, mardi
22 avril, p.5.
GRESILLON, G., 2014, « En Chine, PSA étoffe sa marque DS pour prendre pied sur le marché du premium »,
Les Echos, mardi 22 avril, p.13.
GRESILLON, G., DE GRANDI, M., 2013, « Investissements étrangers : l’Asean fait jeu égal avec la Chine »,
Les Echos, jeudi 17 janvier, p.8.
GRYNSZPAN, E., 2011, « La Russie attire de plus en plus les investissements étrangers », La Tribune,
vendredi 25 novembre, p.5.
HUIJGEN, A., 2011, « L’Inde s’ouvre aux distributeurs étrangers », Le Figaro, mercredi 30 novembre 2011,
p.12.
LAMY, P., 2013, « Les délocalisations vers des pays à moindres coûts ne sont pas une fatalité », propos
recueillis par Richard Hiault, Les Echos, mercredi 16 janvier, p.15.
MAURISSE, M., 2010, « En Suisse, le franc fort encourage les délocalisations », Le Figaro, samedi 18
septembre, p.22.
PLUYETTE, C., 2013, « Volkswagen poursuit son ascension mondiale », Le Figaro, mardi 15 janvier, p.25.
RODIER, A., 2013, « Les investissements directs étrangers plongent dans le monde », Le Figaro, vendredi 25
janvier.
SCHAEFFER, F., 2011, « LedPower délaisse la Chine au profit de la Sarthe », Le Figaro, mercredi 26 octobre,
p.19.
SERRAZ, G., 2011, « Stratégie de relocalisation gagnante pour Rossignol », Les Echos, 9 décembre, p.20.
VERDEVOYE, A.-G., 2011, « L’industrie auto japonaise délocalise massivement », La Tribune, 7 décembre,
p.11.
VULSER, N., 2012, « Le textile chinois est concurrencé par les produits du Bangladesh et du Vietnam », Le
Monde, vendredi 17 février.
VULSER, N., 2014, « Des grands du luxe dérogent au « made in France » », Le Monde, mercredi 9 avril, p.3.

Page 47 sur 49

Annexe 1
Première thématique dominante : « La mondialisation bancaire et financière : la crise
financière de 2007-2008 »
PLAN DU COURS

1. Le point de départ de la crise réside dans l’incapacité des ménages américains à rembourser leurs
crédits subprime
1.1. Qu’est-ce qu’un crédit subprime ?
1.2. Quels sont les facteurs qui ont encouragé les banques à distribuer les crédits subprime ?
1.3. L’éclatement de la bulle spéculative immobilière conduit aux défauts de paiement des ménages
américains
2. La crise du crédit subprime, en détériorant les bilans des banques, débouche sur une crise de
l’économie réelle
2.1. Les banques de financement et d’investissement d’une part, les banques de détail d’autre part
subissent une détérioration de leurs bilans
2.2. Les comptes des ménages et des entreprises se dégradent et cette dégradation est amplifiée par le
durcissement des critères d’accès au crédit bancaire
2.3. La crise financière réduit le potentiel de croissance des économies de l’OCDE et engendre une crise de
la dette souveraine
3. La crise financière donne lieu à une large réflexion sur la règlementation des établissements dits « à
risque systémique »
3.1. Qu’est-ce qu’un établissement à risque systémique ?
3.2. Que dit la théorie économique à propos de l’efficacité d’une règlementation destinée à protéger les
établissements à risque systémique ?
3.3. Quelles pistes alternatives suivre afin d’atténuer les effets négatifs d’une crise financière ?

Page 48 sur 49

Annexe 2
Seconde thématique dominante : « La mondialisation « industrielle » ou le rôle des firmes
multinationales dans la décomposition internationale des processus productifs »
PLAN DU COURS

1. Les firmes multinationales sont les acteurs clés de la mondialisation
1.1. Quels sont les critères de définition des firmes multinationales ?
1.2. Faire la distinction entre une FMN verticale et une FMN horizontale.
1.3. Les investissements directs étrangers sont les « traces statistiques » de l’activité des firmes
multinationales.
2. Comment peut-on expliquer le phénomène de la multinationalisation et de la délocalisation ?
2.1. La théorie éclectique de John H. Dunning.
2.2. La théorie synthétique de Jean-Louis Mucchielli.
2.3. Les théories en termes d’agglomération des entreprises.
3. Les relations entre gouvernements des pays d’accueil et les firmes multinationales sont entrées dans
le paradigme de la coopération depuis le milieu des années 1980 et ont donné naissance aux politiques
d’attractivité territoriale
3.1. Jusqu’à la fin des années 70, les firmes multinationales sont confrontées à une certaine hostilité des
gouvernements des pays d’accueil.
3.2. Les relations sont pacifiées à partir du milieu des années 1980 grâce à l’accroissement de la « capacité
d’absorption » des gouvernements qui leur permet de mieux comprendre les mécanismes par lesquels la
présence des FMN engendre des retombées positives pour l’économie d’accueil.
3.3. En mettant les régions en concurrence les unes avec les autres, les FMN les poussent à élaborer des
politiques d’attractivité territoriale.

Page 49 sur 49


Aperçu du document Problèmes économiques internationaux Sujets d'examen 2010-2014.pdf - page 1/49

 
Problèmes économiques internationaux Sujets d'examen 2010-2014.pdf - page 2/49
Problèmes économiques internationaux Sujets d'examen 2010-2014.pdf - page 3/49
Problèmes économiques internationaux Sujets d'examen 2010-2014.pdf - page 4/49
Problèmes économiques internationaux Sujets d'examen 2010-2014.pdf - page 5/49
Problèmes économiques internationaux Sujets d'examen 2010-2014.pdf - page 6/49
 





Télécharger le fichier (PDF)




Sur le même sujet..





Ce fichier a été mis en ligne par un utilisateur du site. Identifiant unique du document: 01948783.
⚠️  Signaler un contenu illicite
Pour plus d'informations sur notre politique de lutte contre la diffusion illicite de contenus protégés par droit d'auteur, consultez notre page dédiée.